TOP 10 des EASTER EGGS dans les GÉNÉRIQUES de FIN !

Parfois, quand y'en a plus, et bah y'en a encore ! Bienvenue sur WatchMojo Français, aujourd’hui nous faisons le décompte du Top 10 des secrets cachés dans le générique des films.

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Pour cette liste, nous passons en revue les génériques de fin de nos films préférés à la recherche d’Easter Egg, de blagues ou de messages cachés parmi les noms qui défilent. A noter que les films francophones auront leur propre liste ! Les scènes post-génériques ne sont pas la seule raison d’attendre après la fin d’un film.

#10 : Pas de remerciements

« Scream » (1996)

Le slasher phare de Wes Craven a revitalisé un genre fatigué avec sa dose de méta-commentaire ironique, mais le film avait en fait un plus grand méchant que le célèbre Ghostface et son couteau. La production a apparemment conclu un accord verbal avec le Conseil d’administration de l’école de Santa Rosa City, qui leur aurait permis de filmer des scènes dans le lycée. Seulement, l’école a fait marche arrière à la dernière minute, forçant Craven et son équipe à trouver un autre lieu.Toujours furieux après ce contretemps qui a failli tout gâcher, la légende de l’horreur s’est assuré de ne « surtout pas remercier » l’école avec un message dans le générique de fin. Il ne faut jamais énerver un réalisateur de films d’horreur !

#9 : Sans rancune

« Le Loup-garou de Londres » (1981)

Si on en croit les films, se faire arrêter par choix est bien plus difficile qu’on ne le pense. Le héros David Kessler l’apprend à la dure dans ce film culte sur les loups-garous, alors qu’il tente en vain de se faire enfermer pour éviter à son alter-ego poilu de manger qui que ce soit. Confesser ses virées nocturnes n’aide pas, et il lâche une flopée d’insultes envers la royauté Britannique, dont une qui vise le Prince Charles. Afin de préciser à la royauté qu’il s’agissait d’une blague, la production a inclus un message de félicitations pour le mariage à venir de Charles et Diana Spencer.

#8 : Les inspecteurs Andrew, Kevin et Walker

« Fight Club » (1999)

Non, on ne parle pas de la « surprise cachée » qui vous pourriez remarquer pendant le générique. Mais si vous êtes fan du film culte de David Fincher, vous vous souviendrez de la scène dans laquelle le personnage de Norton se bat avec trois inspecteurs.Pour le voir il faut regarder le générique attentivement, mais le trio est nommé Andrew, Kevin et Walker. Pourquoi est-ce important ? Parce que ce nom est tiré du scénariste Andrew Kevin Walker, qui a écrit le film « Seven » du même réalisateur, et a travaillé un peu sur Fight Club, sans être crédité. Nous aussi on veut bien le faire, si c’est pour avoir un clin d’œil pareil.

#7 : Des anecdotes sympas

La franchise « Hot Shots! » (1991-93)

Cette duologie de films du début des années 90 avec Charlie Sheen est une comédie où les blagues tombent toutes les deux secondes sur les spectateurs.Mais ce monument de la comédie ne s’achève pas lorsque le générique apparaît, puisqu’un bon nombre de blagues se cachent dedans. Les spectateurs qui ont de bons yeux trouveront quelques recettes savoureuses, quelques alertes spoiler pour le film « The Crying Game », quelques questions et anecdotes, ainsi que le fait plus que douteux que l'invention de la sauce tartare soit attribuée à Richard Crenna. On ne sait pas trop si la dernière est vraie, mais on va le mettre sur le compte de la comédie.

#6 : Les différentes personnalités

« Split » (2016)

M. Night Shyamalan est revenu se venger grâce à ce thriller intense rempli d’acteurs géniaux. James McAvoy incarne un homme qui possède plus de 20 personnalités distinctes, dont certaines ont apparemment des capacités spéciales. Quand le générique tombe après la scène finale, les spectateurs seront surpris de voir qu’en plus des noms normaux au centre de l’écran, on peut voir 23 autres génériques dans le fond. Le nombre exact est spécifique, bien sûr, puisque McAvoy a 24 personnalités dans le film, et apparemment, chacune d’entre elles a droit au sien. Ce clin d’œil est difficile à louper, mais sa signification est très sympa.

#5 : Un message Maori

« Le Seigneur des anneaux : Le Retour du roi » (2002)

Arriver au générique de fin de la trilogie fantastique de Peter Jackson peut être un sacré parcours, surtout si vous regardez les versions longues.Mais si vous arrivez à la fin du dernier opus, vous pourrez voir ce message étrange au milieu du générique. S’agit-il de l’une des langues parlées par les personnages du film ? Non ! Il s’agit d’un message spécial en maori, la langue des autochtones de Nouvelle-Zélande, où les films ont été tournés. Le message dit « Nous dédions nos souvenirs aux esprits Eldar, qui sont venus tout droit de l’Océan qui s’étend à l’Ouest pour nous rendre visite ».

#4 : La fondation Hanso

« Mission: Impossible III » (2006)

Avant de perdre les spectateurs avec sa fin, « Lost » était un pilier de la culture, et une série à sensation.Il est facile de trouver des Easter Eggs et des blagues liées à cette série dans tout une variété de média à partir du milieu des années 2000, comme ce petit clin d’œil du co-créateur de « Lost », J.J Abrams. Dans le générique de fin du 3ème Mission : Impossible, réalisé par Abrams, on peut voir un remerciement envers la Fondation Hanso, le groupe sinistre qui a financé le projet DHARMA. On ne sait pas trop ce que le groupe a à voir avec MI3, mais le film ne possédait aucun ours blanc, donc on sait que ce n’est pas ça.

#3 : Juste un café

« Pulp Fiction » (1994)

Quand « mon rat » et « lapin » décident de braquer un café dans cette scène emblématique du film novateur de Quentin Tarantino, le pauvre propriétaire se retrouve avec un flingue devant la tronche.Pour tenter de calmer la situation, le propriétaire commence à dire qu’il n’est qu’un manager de café, mais se fait interrompre. En anglais, on a l’impression qu’il dit qu’il n’est qu’un café. À la fin, il est listé dans le générique sous le nom de « café » ou « Coffee Shop » en anglais. Le genre de gags facile à louper, mais qu’on attend de Tarantino depuis.

#2 : Les pas de sorciers

« Harry Potter et le Prisonnier d'Azkaban » (2004)

Même les jeunes sorciers ne peuvent fuir les amourettes de lycée. Quand le générique se met à défiler dans le troisième opus de la série « Harry Potter », on a droit à plus que du texte sur un écran noir. En effet, le générique est conçu comme une carte du maraudeur, un document magique qui révèle l’emplacement de tous ceux qui se trouvent à Poudlard en montrant leurs pas, et notamment ceux de deux étudiants dans un coin reclus. Ils sont très, très proches, ce qui sous-entend que les étudiants échangent peut-être un baiser secret, voire quelque chose d’encore plus poussé. On espère juste qu’ils ne se feront pas surprendre.

Avant de dévoiler notre vainqueur, voici quelques mentions honorables :

Les droïdes policiers
« RoboCop » (1987)

L’opinion de Kristoff
« La Reine des Neiges » (2013)

Les seins de Gina
« Les Flingueuses » (2013)

#1 : Une avalanche de gags

La franchise « Y a-t-il un flic... » (1988-94)

Vous vous souvenez de l’entrée sur le film qui était rempli de gags ? C’est cette franchise qui est à l’origine de l’idée. On suit l’intrépide détective Frank Drebin, incarné par la légende de la comédie : Leslie Nielsen. Chaque opus de cette franchise adulée est un classique, rempli à ras bord de rires, du début à la fin.Et ça inclut le générique, qui déborde de gags comme des alertes à la tornade, des blagues sur la longueur du générique, et des bribes de dialogues jouées par des figurants. Comme les vannes du film, ces blagues ne nous déçoivent jamais, et on rit bien trop pour protester.