TOP 10 des MEILLEURES SÉRIES U.S. de TOUS LES TEMPS !

C’est l’heure du marathon-série ultime. Bienvenue sur WatchMojo Français, aujourd’hui nous faisons le décompte du Top 10 des meilleures séries américaines.Nous publions de nouvelles vidéos chaque jour, alors abonnez-vous pour être au courant des nouveautés excitantes !

Pour cette liste, nous passons en revue la crème de la crème des séries télé US. Vu le nombre de programmes de qualité qui existent, la liste a été très difficile à faire. Ne soyez donc pas déçus si votre série préférée n’a pas été choisie.

#10 : « Cheers » (1982-93)

Cheers montre que la clé de n’importe quelle sitcom réside dans l’alchimie entre ses personnages, et donne de nouveaux standards aux comédies choral qui ont suivie. Pourtant, dans un bar emblématique dont tout le monde connaît à présent le nom, le série a uni des personnages inoubliables, de Sam le tombeur à Carla et son tempérament de feu, en passant par l’intello Frasier, qui lancera ensuite un spin-off au succès similaire. Même après le départ de gens comme Diane et Coach, la série n’a pas perdu en qualité, ce qui est impressionnant, et a même accueilli des nouveaux comme Woody et Rebecca. Comme preuve de sa qualité, Cheers a eu droit à une nomination aux Primetime Emmy Awards, pour la Meilleure série comique à chacune de ses onze saisons, et en a gagné quatre.

#9 : « The Leftovers » (2014-17)

On ne peut nier que Lost a changé le paysage de la télévision, avec son casting varié, son histoire ambitieuse, et son utilisation novatrice des flashbacks. Mais Damon Lindelof a perfectionné cette recette en créant The Leftovers, avec Tom Perrotta. Lorsque 2% de la population mondiale disparaît soudainement, le reste de l’humanité doit trouver le sens derrière tout ça.Ce qui est intriguant dans cette série, c’est que le mystère qui englobe l’histoire n’a pas vraiment de conséquence. Ce qui est vraiment captivant, c’est la façon dont les personnages répondent à leur environnement étrange, pour arriver à des conclusions déchirantes, inspirantes, voire imprévisibles. Si la série n’a jamais été un monstre d’audience, et n’a reçu que quelques tapes sur l’épaule, elle reste un chef-d’œuvre.

#8 : « La Quatrième Dimension » (1959-64)

Dans la 4ème dimension, il ne faut pas se fier aux apparences. Une poupée peut être un tueur vengeur, et un livre censé servir l’humanité, peut en fait la condamner. Même la série en elle-même est bien plus que ce que l’on pourrait croire. Si elle a été classée dans la SF, le créateur Rod Serling utilise le surnaturel pour montrer des problèmes, comme les préjugés, du conformisme, et l’instinct grégaire.De nombreux épisodes se sont imposés en classiques de la culture pop. La série a eu une portée tellement vaste, que même si vous n’avez vu aucun épisode, vous devez au moins connaître l’un des twists de fins… dont les frontières sont notre imagination.

#7 : « Les Simpson » (1989-)

«Les Simpson» est souvent cité comme le meilleur programme de tous les temps, mais les gens oublient parfois que c’est aussi l’une des comédies les plus influentes de la télévision. La création de Matt Groening possède une animation distincte que l’on reconnaît tous, mais ce qui nous marque vraiment, ce sont les répliques qui font mouche, les histoires brillantes, et les personnages immortels. En parlant d’immortalité, en 2018, la série a officiellement dépassé Gunsmoke en tant que série la plus longue des USA en termes d’épisodes.La série est souvent en avance sur son temps, et avait tout prédit, de la victoire aux présidentielles de Donald Trump, à la proposition de Disney de racheter la Fox. Même si les dernières saisons ne peuvent rivaliser avec son apogée, les Simpson sera toujours une série à part.

#6 : « Mad Men » (2007-15)

En plus d’avoir rendu AMC célère pour son contenu original, Mad Men est devenu la 1ère série du câble à remporter un Primetime Emmy pour la Meilleure Série Dramatique – la première de 4 victoires consécutives. Ce drame historique se passe dans les années 60, et capture l’époque à la perfection, avec un symbolisme puissant, une atmosphère troublante et des acteurs performants, même avec peu de dialogues.La série montre avec brillo les temps qui changent, tout en démontrant à quel point certains éléments sont immuables. Au centre de tout ça, se trouve un publicitaire très doué, qui se cherche une identité propre, et ne cesse de se perdre dans le monde factice de la publicité.

#5 : « Breaking Bad » (2008-13)

“Breaking Bad » est sûrement la série la plus addictive de cette liste, ce qui n’est pas peu dire vu le sujet. Surtout connu pour ses rôles comiques à l’époque, Bryan Cranston semblait être un candidat improbable pour le rôle du prof de chimie Walter White. Cependant, comme la chimie est la science du changement, il s’avère que ce choix était en fait très judicieux, à plusieurs niveaux.Au fil des cinq saisons très bien ficelées, et méticuleusement crées, on voit ce père de famille rongé par le cancer évoluer en un baron de la drogue sans pitié. Si la série arrive très tôt à son apogée, Breaking Bad parvient à se surpasser chaque saison, et explose dans un bouquet final qui a satisfait tout le monde.

#4 : « Game of Thrones » (2011-)

Il fut un temps où les gens associaient automatiquement le fantastique à un mauvais jeu d’acteur, et à des effets spéciaux ringards. Et si le Seigneur des Anneaux a donné un coup de jeune au genre au cinéma, Game of Thrones a fait de même sur le petit écran, dix ans plus tard. Bien sûr, « petit » est le dernier mot qu’on a envie d’utiliser en décrivant cette adaptation révolutionnaire du « Trône de Fer » de George R.R Martin.Tout dans cette série a des proportions épiques, de son casting riche à sa production remarquable, en passant par son histoire détaillée. Son ambition n’a d’égal que le nombre de prix qu’elle a gagné, devenant la 2ème série la plus récompensée de l’histoire des Primetime Emmy.

#3 : « Seinfeld » (1989-98)

Pour une série qui ne devait parler de rien, Seinfeld a eu un énorme impact, bien plus que les créateurs n’auraient pu l’imaginer. Si Jerry Seinfeld a créé sa comédie à partir des petites choses de la vie, sa sitcom éponyme a révélé à quel point les problèmes triviaux peuvent parfois devenir beaucoup plus gros. Par exemple, qui aurait cru qu’un bonbon, une chemise boufffante ou un rétrécissement causeraient un tel chaos ?Dans la plupart des épisodes, l’intrigue secondaire se déroule par pure coïncidence, et donne certaines des conclusions les plus drôles de la télévision. Les histoires sont construites avec minuties, et deviennent encore plus drôle grâce à ses personnages excentriques, ses dialogues cultes et ses running gags qui exigent de l’attention.

#2 : « Sur écoute » (2002-08)

Plus connu sous son nom original de The Wire, cette série peut ressembler à un drame sur le crime plutôt classique. C’est peut-être pour ça qu’elle est passée inaperçu au tout début. Mais de nos jours, on aurait du mal à trouver une critique qui n’en soit pas fan. Chaque saison, on s’axe sur quelque chose de différent, et on peut observer le marché de la drogue de Baltimore sous différents angles.Étant donné que le créateur David Simon a été reporter dans la police, on n’est pas surpris que Sur Écoute ait reçu des louanges pour son authenticité. Les dialogues ne manquent jamais de naturel, et le casting, qui comprenait beaucoup d’acteurs peu connus à l’époque, paraissaient plus sincères dans leurs rôles.

Avant de dévoiler notre vainqueur, voici quelques mentions honorables :
« MASH » (1972-83)
« Twin Peaks » (1990-91 ; 2017)
« Friends » (1994-2004)
« Battlestar Galactica » (2004-09)
« I Love Lucy » (1951-57)

#1 : « Les Soprano » (1999-2007)

Quand la série « les Soprano » est arrivée en 1999, les séries télé n’avaient rien de cinématogra-phique. Le drame captivant de David Chase a mis la barre plus haut en terme d’écriture, de réalisation et de performance, au niveau des plus grands films de mafia jamais créés. La série a également touché à un archétype qui deviendra très populaire au fil des ans : l’antihéros.Si Tony Soprano était un violent criminel, il était aussi un père de famille tentant d’équilibrer ses deux mondes. Passant de méprisable à sympathique, Tony était un protagoniste différent de ce qui se faisait à cette époque. C’est l’une des raisons pour lesquelles « Les Soprano » ont aidé à lancer l’âge d’or du petit écran.

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