TOP 10 PIRES FILMS D'ANIMATION !

D’après les critiques, voilà ce qui arrive quand on décide de faire un film de science-fiction, mais qu’on ne sait pas s’y prendre : on vole les idées de tout le monde. La production de Delgo a débuté en 1999, et pendant neuf ans les « génies » derrière cette « oeuvre » ont mélangé les éléments d’Aladdin, de Star Wars et de Superman, pour un produit final qui n’a même pas pu récupérer 1 million des 40 millions de dollars de budget.Avec Freddie Prinze Jr, Jennifer Love Hewitt, Val Kilmer et Anne Bancroft dans son dernier rôle, Delgo parle d’un adolescent et ses amis qui veulent sauver leur planète en proie à une guerre, et il a été universellement critiqué, ce qui en fait le film en images de synthèse le moins rentable du monde.

Et un autre film animé désastreux avec Freddie Prinze Jr dans le rôle principal ! A noter aussi le dernier rôle tenu par une légende : le flop au box-office qu’a été Cendrillon et le Prince (pas trop) charmant était le dernier film de George Carlin.Le film a tenté de capitaliser sur la mode des contes de fées revisités et subversifs du milieu des années 2000. Mais le problème, pour le public, c’est que les créateurs ont apparemment oublié le côté « contes de fées ».Cependant, et malgré le fait qu’il n’ait pas réussi à rentabiliser son budget au box-office, le studio a tout de même tenu à faire une suite, qui est heureusement sortie directement en vidéo.

Vu la taille de son nom sur l’affiche du film, il était évident que les créateurs de ce long-métrage utilisaient le nom de Sean Connery pour vendre le film – ce qui était la seule façon de le vendre. Dans Sir Billi, Sean Connery incarne un vieil homme excentrique fan de skateboard, qui tente de sauver un castor fugitif. L’absurdité de l’histoire, ainsi que l’animation terne ont fait de ce film la risée des critiques et du public, et il s’agit également du dernier film de Sean Connery avant qu’il ne se retire complètement d’Hollywood. Il y a mieux comme façon de partir…

Tout le film est basé sur une phrase de la chanson d’Adam Sandler : « Chanukah Song ».  Et si ce morceau est drôle et malin, ce film des fêtes ne l’est pas – en tout cas, si l’on en croit tous ceux qui l’on vu.Les critiques et le public ont trouvé que Sandler passait plus de temps à repousser les limites de son humour de bas étages, qu’à parler des fêtes juives. Si l’on ajoute le fait que le film est en plus assez déprimant, pas vraiment destiné aux enfants et plaçait plus de produits qu’une coupure pub, on comprend pourquoi le public a quitté le cinéma en espérant plutôt avoir huit nuits silencieuses.

Mais comment ont-ils fait pour pondre cette histoire ? “Bon les gars, on prend un ours polaire qui se fait passer pour un humain qui prétend être un ours polaire pour pouvoir arrêter le développement de logements de luxe dans l’Arctique. » Ouais, super ! Le sabotage immobilier va sûrement plaire aux enfants ! Et pourtant, Lionsgate a persévéré.Le film suit l’ours polaire éponyme, doublé par Rob Schneider, tandis qu’il prend clandestinement un bateau pour New York afin de sauver sa terre natale, où doivent être construits des apparts. Comme le dit Rotten Tomatoes : à ne voir qu’en cas d’urgence parentale, s’il n’y a rien d’autre.

Un film d’animation fantastique signé LucasFIlm ? Génial ! Avec un casting de stars prestigieuses ? On adore ! Et une histoire créée par George Lucas surtout pour des petites filles ? Pourquoi pas… Mais le pire ici, c’est qu’il a fallu 15 ans pour développer le film avant même que sa production ne commence.Ce qui signifie que même si cette version du Songe d'une nuit d'été de Shakespeare est visuellement sublime, comme n’importe quelle œuvre de Lucas, la plupart des critiques portent sur l’histoire, la musique, les personnages et le manque de blagues. Pour un partenariat Disney/LucasFilm, ne récolter que 13,6 millions de dollars, c’est dur !

Vous savez ce qui est pire qu’un mauvais film sur des singes dans l’espace ? La suite très superflue d’un mauvais film sur des singes dans l’espace. Pour prouver que sa passion des mauvais films d’animation ne s’arrête pas à Cendrillon et le Prince (pas trop) charmant, John H. Williams a décidé de faire ce film autour de Comet, un bleu de l’informa-tique qui veut devenir cosmonaute. Si ceux qui ont vu le film affirment qu’il est pas ouf, c’est surtout Kilowatt qui a forcé le retour sur Terre des spectateurs.Du coup, le film a droit à un score impressionnant de 0% sur Rotten Tomatoes, et il est sorti en direct-to-video en Amérique après un gros flop dans les cinémas britanniques.

Vous vous souvenez de ces suites de Disney qui sont sorties direct en K7 vers le milieu des années 90 ? On est d’accord, c’était tout ou rien, et les suites de Mulan et de Pocahontas étaient plutôt dans le « rien ». D’ailleurs, certaines critiques ont même dit que ces suites futiles ternissaient carrément la réputation de figures historiques importantes. Prenez Pocahontas 2, par exemple : Pocahontas est envoyée en Angleterre… et voilà, les faits historiques s’arrêtent là.Le reste du film nous montre le personnage éponyme qui agit de manière « non civilisée » et tente d’arrêter une guerre. À la fin, les fans ont réalisé qu’au détour de la rivière, ils n’avaient eu droit qu’à un affront envers les Amérindiens.

Charlie Sheen n’a pas pris la meilleure décision de sa vie en se lançant dans cette espèce de ratage. Conceptualisé en 1999, Foodfight a été reporté lorsque des disques durs remplis de séquences ont été volés dans ce qui a été qualifié d’affaire « d’espionnage industriel ». On se demande si les voleurs ont pris tous les bons moments, parce qu’une fois sorti en 2012, il ressemblait plus à un projet de lycéen qu’à un film.En plus de ça, ce soi-disant film pour enfants contenait plus de sous-entendus qu’un film érotique, et son scénario insensé comprenait de nombreux placement de produit. Autant dire qu’on n’a jamais autant voulu jeter des tomates à la tête d’une équipe de réalisation.

Avant de dévoiler notre vainqueur, voici quelques mentions honorables, ou dans ce cas, déshonorables :

« Tom et Jerry, le film » (1992)
« Opération Casse-noisette » (2014) 
« Gang de requins » (2004)

Si vous n’avez jamais entendu parler de ce film d’animation italien, vous avez échappé à un naufrage. Ce dessin animé ressemble aux autres: il y a une histoire d’amour, des faits historiques presque respectés et des animaux parlants enchantés avec d’horribles stéréotypes racistes.Mais sans le charme nécessaire, La Légende Continue coule aussi vite que s’il avait lui-même heurté l’iceberg. Il a non seulement été qualifié de l’une des pires adaptations inspirées de Titanic de tous les temps, mais les critiques l’ont également nommé l’un des pires films d’animation de l’histoire du cinéma.

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