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TOP 10 ce qu'on VOIT TOUT LE TEMPS dans CALL OF DUTY !

TOP 10 ce qu'on VOIT TOUT LE TEMPS dans CALL OF DUTY !
PRÉSENTÉ PAR: Xavier Moretti ÉCRIT PAR: Laurène Sauzet
On adore cette franchise, qui a su bâtir une identité à travers différents éléments récurrents au fil des ans ! De quoi parlons-nous ? Joignez-vous à nous pour le décompte de cette liste des 10 choses qu'on voit toujours dans les jeux Call of Duty !

Ah, nos chers 360 no-scope, la survie triomphante à une blessure quasi fatale et les virées mortelles en hélico, que ferait-on sans tout ça ? Bienvenue sur WatchMojo Français, aujourd’hui nous faisons le décompte du Top 10 des éléments récurrents de Call Of.Nous publions de nouvelles vidéos chaque jour, alors abonnez-vous et activez la petite cloche pour votre dose quotidienne de WatchMojo !


Pour cette liste, nous passons en revue les thèmes, designs et concepts récurrents dans la franchise de FPS à succès d’Activision. On ne parlera pas des connexions entre les jeux « Call of Duty » et les autres séries de FPS formatrice telles que « Medal of Honor », et notez également que la liste contiendra quelques spoilers.

#10 : Défoncer des portes au ralenti


Montrée dans les entrées les plus récentes de la série, cette habitude d’utiliser les ralentis pour accentuer les séquences de défonçage de porte est devenue un pilier des jeux. « Modern Warfare 2 » adorait le concept, et l’une des missions montrait à plusieurs reprises la Task Force 141 en train de défoncer des portes au ralenti. Mais depuis, l’élément est devenu plus rare, comme pour souligner sa singularité et la tension de certaines séquences particulières. Ça permet de les distinguer du rythme effréné habituel du jeu. Lorsqu’il est bien utilisé, le ralenti peut amener une énergie et une touche stylée au défonçage de portes. Ou à n’importe quelle autre scène d'ailleurs.

#9 : La prise d’objectif


Les franchises d’action adorent offrir une fin épique avec une confrontation dans des conditions très difficiles, et la série Call of Duty ne semble pas très différente.Au moins une fois par jeu, les joueurs doivent revendiquer un emplacement pour une armée, avant de retenir d’éventuels attaquants jusqu’à ce qu’une limite de temps soit écoulée. Cet élément apparaît pour la première fois lorsqu’on demande au joueur de garder le Pegasus Bridge dans le « Call of Duty » originel, et cette mise en scène de défense s’est retrouvée à plusieurs reprises dans les suites. À son apogée, c’est une façon de défier les joueurs tout en servant de combat dramatique qui reste dans la tête du public longtemps après sa fin.

#8 : Le niveau d’infiltration


Marchez avec précaution, ne faites pas un bruit et tirez seulement quand on vous le demande. Les missions d’infiltration sont un excellent moyen de faire monter la tension sans devoir donner de contexte excessif, et il s’agit d’un concept stable que la série Call Of Duty utilise à plusieurs reprises.« Call of Duty 4 : Modern Warfare », en 2007, a donné au public un niveau d’infiltration angoissant pas loin de Tchernobyl, qui exigeait des tirs de sniper précis, et des manœuvres mesurées de la part du joueur. Elles sont devenues un modèle de base sur lequel se sont construit les opus suivants, même si les jeux récents ont évité de créer des niveaux entiers d’infiltration.

#7 : Les tourelles


Envoyons la sauce, comme on dit. Les armes lourdes et Call of Duty vont aussi bien ensemble que la confiture et le pain, ce qui est logique pour cette franchise.Ceci étant dit, il semblerait que le gameplay des tourelles intéresse particulièrement Activision et Cie. Qu’on ait droit à une brève fusillade à bord d’un avion en fuite ou d’une longue séquence à bord d’un bombardier de la 2nde guerre mondiale, la série trouve toujours un moyen d’intégrer des tourelles. On ne s’en plaint pas vraiment – on peut s'en servir pendant un bon moment, étonnamment.

#6 : La résistance à de graves blessures


Apparemment, les opérations militaires exigent d’avoir des soldats d’acier. C’est l’impression qu’on a quand un protagoniste de COD s’en tire alors qu’il vient de subir une blessure fatale pour le commun des mortels.Dans Modern Warfare 2, MacTarvish parvient à survivre non seulement à une chute dans une cascade, mais également à un coup de couteau dans la poitrine. Les blessures par balles ne font que ralentir le héros, tomber de très haut n’est souvent qu’un léger désagrément, et les explosions ne sont que des obstacles à éviter. C’est fou à quel point ces soldats sont solides !

#5 : De la bleusaille sans famille


Tout au long de la série, on trouve de nouvelles recrues qui débarquent en plein milieu de l’action. Au début du Call of Duty original, les joueurs se retrouvent dans la peau du Soldat Martin, une nouvelle recrue de l’armée Américaine, dans la 101ème division aéroportée.Les jeux suivants ont conservé cet archétype, en excluant toute histoire à laquelle on pourrait s’identifier pour ces soldats, en leur sucrant d’éventuelles relations familiales. On en sait bien plus sur la place de ces soldats dans leurs divisions respectives que sur leur personnalité, leurs relations amicales ou familiales, ou même leur avis socio-politiques.

#4 : Le facteur choc


On peut surprendre le public avec l'inattendu une seule, après, ça devient juste une routine. L’un des moments les plus étonnants de COD 4 était la célèbre mission Choc et Effroi, dans laquelle 30 000 soldats américains meurent lors d’une explosion nucléaire.La scène était violente, inattendue et illustrait parfaitement à quel point le jeu prenait le sujet au sérieux… puis, les suites ont tenté de la surpasser. De la mission controversée Pas de Russes dans Modern Warfare 2 à la sinistre et grotesque vengeance de Menendez dans Black Ops 2, il est clair que le facteur choc est désormais un pilier de la série.

#3 : Appuyez sur X pour…


Ce qui est sûr, c’est qu’on n’est pas surpris de voir des QTE dans la série. Récurrence plus récente dans le catalogue de la série Call of Duty, appuyer sur des boutons dans des soi-disant cinématiques est devenu habituel dans les jeux.Mais on ne l’utilise pas que pour éviter la mort lors d’une attaque de chiens ou de soldats – ces évènements se manifestent également en dehors des scènes de combat. Par exemple, le célèbre moment où l’on doit présenter ses respects dans Advanced Warfare, ou encore ce qui suit la mort de John MacTavish dans Modern Warfare 3. On peut débattre de leur statut d’élément de gameplay, mais leur présence dans ces moments dramatiques reste une idiotie.

#2 : Une mort de fin de mission inévitable


Dans un combat, on peut s’attendre à des morts… mais là, ça va plus loin. Des personnages qui mordent la poussière, ça n'a rien de nouveau dans la série, en général on s'en doute même dès le début du jeu. Mais ce qui est devenu commun, c’est que l’histoire force le personnage à mourir à la fin de la mission. Ça peut-être à cause de la trahison d’un allié respecté, ou le résultat d’un noble sacrifice.Quel que soit le contexte, Call of Duty adore tuer ses personnages au nom du drame et des enjeux, et le résultat est parfois impressionnant.

#1 : Le joueur doit tout faire


Vu que la série est enracinée dans la fiction, c’était assez évident. Du tout premier jeu au dernier opus, le personnage du joueur est toujours celui ou celle qui doit accomplir les missions importantes.Ainsi que d’autres tâches. Tirer sur les ennemis, mettre des explosifs sur des cibles, tout retombe sur les épaules du personnage.Si cet élément de gameplay permet aux joueurs de se sentir toujours impliqués et important dans l’histoire, on a également l’impression que la série met sur vos épaules tout le poids du monde.

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