TOP 10 des ANIMÉS qui n'ont AUCUN SENS !

Parfois, ce n’est pas l’histoire qui nous perd, mais tout ce qu’il y a autour.En soi, Flip Flappers est un anime de type magical girl centré autour de Cocona et Papika, qui exécutent différentes missions pour trouver des fragments uniques qui, une fois collectés, accordent un voeu. Comme ça, ça paraît simple, mais chaque monde est visuellement impressionnant et accompagné d’une modification du style artistique, et on a du mal à ne pas se laisser distraire. Avec son rythme effréné et son scénario plein de symboles, vous risquez d’être perdus si vous clignez des yeux ne serait-ce qu’une seconde.

Les esprits tordus derrière Excel Saga reviennent avec cet anime sous acide condensé dans un OAV en 2 parties.Poemi Watanabe est une petite fille de 10 ans qui rêve d’être actrice de doublage, malgré le fait qu’elle ait une voix très crispante. Malheureusement, ses parents sont tués par des aliens mystérieux, et Poemi gagne des pouvoirs après avoir suçoté un poisson.Présenté comme une parodie des magical girls, on y trouve un bébé prescient, des aliens avec de grosses noisettes et plus de scènes de domination que dans un hentai, avec des références cheloues à Dragon Ball.

Même s’il est parfois ardu à regarder, Penguindrum est l’un des rares animes récents à pouvoir être qualifié de révolutionnaire.L’histoire tourne autour d’Himari, qui a une maladie incurable, et de ses frères jumeaux, Shouma et Kanba. Après sa mort tragique, elle est ressuscitée par un être étrange qui vit dans un chapeau à tête de pingouin.Déterminés à retarder l’inéluctable, les frères passent une série de test à la recherche du Tambour Pingouin. Mais le destin n’est pas logique, ni toujours très juste.

Un monde post-apocalyptique ne doit pas forcément être lugubre. Cet anime est un avertissement sur notre incapacité à apprendre de nos erreurs.À cause de la surpopulation, les humains sont au bord de l’extinction, et les fées sont dorénavant l’espèce dominante du monde. Ces petites créatures sont malines, ont toutes un aspect différent – y compris celui du pain – et peuvent être manipulées à coups de sucreries. Raconté du point de vue du cynique Watashi, cet univers est tellement parti en vrille que le concept d’étrange est à présent absolu.

Comment une série avec un postulat aussi simple peut-il être si fou ? Mais surtout, qui doit-on remercier ?Au premier regard, la ville de l’anime paraît on ne peut plus ordinaire, et les gens vivent une vie normale. Rien ne semble vraiment être… euh… le directeur de l’école vient de faire une prise de catch à un cerf là, non ? Bon, on a sûrement une définition différente de « ordinaire ». Centrée autour de trois lycéens, l’humour de cette histoire est surréaliste, et les personnages se fourrent toujours dans des plans pas possibles.

On pourrait écrire une thèse sur l’étrangeté de cet anime. Entassé sur une petite heure, Dead Leaves est centré sur Retro et Pandy qui se réveillent nus sur Terre avant de commettre des tonnes de crimes.Après avoir été arrêtés et jetés dans une prison inter-galactique, ils réalisent vite qu’il s’agit en fait d’une expérience génétique.Ignorant la tête en forme de TV de Retro, puisqu’elle semble presque normale comparée au reste, Dead Leaves est un enchaînement de scènes violentes et érotiques vaguement connectées par une histoire.

Vu la façon dont le monde actuel est obsédé par internet, cet anime psychologique peut être considéré comme avant-gardiste.Lain, une technophobe de 14 ans, reçoit un email de Chisa Yomoda, l’une de ses camarades de classe qui s’est récemment suicidée. Après l’avoir ouvert, elle tombe dans le Wired, une sorte d’Internet, qui est présenté comme un monde mystérieux et occulte.Plus elle va dans cet endroit étrange, plus la réalité et le cyberespace se confondent. Dépourvu de monologue interne, cet anime exige une attention particulière de la part des spectateurs, puisqu’il soulève des questions sans donner de réponse directe.

Évidemment, Fooly Cooly est là, et il est pratiquement l’archétype de l’anime hyperactif sans queue ni tête.Naota Nandaba est un petit garçon de 6ème qui a décidé d’abandonner sa vie et préfère suivre son grand-frère qui est parti vivre aux USA. C’est là qu’arrive Haruko Haruhara, un biker psychopathe avec une guitare qui entraîne Naota dans un combat qui décidera du sort de l’univers tout entier. Avec son rythme effréné, FLCL fait réfléchir grâce à son histoire autour de l’âge adulte cachée derrière un voile d’immaturité et de bruit.

L’Empire Chauvekipeut est une organisation tyrannique qui utilise sa force pour opprimer un royaume et ses citoyens.La seule défense du monde libre prend la forme de 5 enfants qui ont chacun appris un style d’art martial. Malheureusement, il n’en reste qu’un. Bo-bobo a pour but de renverser les forces obscures pour ramener la paix. Si ça ressemble à un anime shonen typique, l’histoire est au poil et tout ne tient qu’à un cheveu… L’empire vole la liberté du peuple en le rasant, et notre héros utilise son « super poing de poils de nez » pour vaincre les ennemis. Et puis, il y a Don Patch.

On veut essayer ce que fume Shinichi Watanabe. Il Palazzo est un dictateur qui a créé l’organisation ACROSS, afin de prendre le contrôle de la Terre et de la sauver d’elle-même.Malheureusement, ses seuls employés sont Excel, un poil hyperactive, et Hyatt, assez sous-estimé, qui ne savent pas vraiment travailler ensemble. L’anime cherche à se moquer de la culture pop.Chaque nouvel épisode emmène Excel dans un nouvel endroit, et parodie un genre d’anime différent. La seule cohérence, c’est le ton excentrique et haut en couleurs, ainsi que l’absence de logique balancée à la tête du public. Du coup, il est assez génial !