TOP 10 des DOCUMENTAIRES qui vont vous FAIRE PLEURER !

Parfois, on a juste envie de regarder des trucs très tristes. Bienvenue sur WatchMojo Français, aujourd’hui nous faisons le décompte du Top 10 des documentaires qui vont vous faire pleurer.
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Nous passons en revue les histoires les plus tristes possibles racontées dans des documentaires. Comme on sait que parfois c’est la fin la plus triste, on vous prévient : attention aux spoilers. Préparez vos mouchoirs !
#10 : « Earthlings » (2005)
Les animaux font partie de notre quotidien, et sont liés à presque tout ce que l’on fait. Si la plupart d’entre nous ont des animaux de compagnie ou sont déjà allés au zoo, rares sont ceux qui s'attarden vraiment sur le rôle qu’ont les animaux dans nos vies humaines. Ici, on voit le côté « obscur » de l’aide qu’ils apportent. Il y a les animaleries, mais également la recherche, l'alimentaire, le textile ou encore le divertissement.Ce film ne parle pas uniquement de la cruauté animale, il fait un parallèle entre le traitement des animaux et la façon dont les humains se traitent entre eux – et la vérité n’est pas belle à voir.
#9 : « Terry Pratchett: Choosing to Die » (2011)
Les conversations autour de la mort n’ont jamais rien de joyeux. Qu’on soit pour les suicides assistés ou non, la vérité sur le sujet, c’est qu’il existe des gens qui souffrent assez dans le monde pour ne plus avoir envie de vivre. Présenté par l’auteur Terry Pratchett, ce documentaire donne une vision intime de la vie de ces gens, et des éléments qui motivent leur choix.Le plus controversé reste la fin du documentaire, où les spectateurs voient l’une des personnes interviewées prendre un médicament mortel, et mourir, entouré par sa femme, l’auteur, et la société suisse qui supervise la procédure.
#8 : « We Were Here » (2011)
L’épidémie de VIH/SIDA et ses ravages sur la communauté LGBTQ sont généralement vu comme une maladie contenue à un moment précis. Si la plupart des documentaires tels que « Silverlake Life » explorent l’idée de façon très larmoyante, « We Were Here » a une approche très différente.Il raconte tout de même l’histoire de ceux qui ont été affectés par le virus et sont mort, mais à travers les yeux de 5 individus qui ont assisté les victimes. Du coup, on a une meilleure idée de la façon dont leur décès a affecté la communauté et l’humanité tout entière, et pas juste une seule communauté.
#7 : « The Times of Harvey Milk » (1948)
Harvey Milk est le premier homme ouvertement gay à avoir été élu à un poste de conseiller municipal, en Californie, et il était très actif dans le mouvement pour les droits des homosexuels dans les années 70. Il voulait que la communauté queer puisse garder leur travail une fois leur coming-out fait.Il a également été assassiné par un collègue du conseil municipal, Dan White, qui a été inculpé pour homicide volontaire. Le documentaire raconte l’histoire de Milk avec une collection de reportages, d’archives et d’interviews, comme si Harvey Milk était encore là pour raconter son histoire et défendre les droits des LGBTQ.
#6 : « The Cove - La Baie de la honte » (2009)
Le monde est tombé amoureux des dauphins, d’abord – peut-être – grâce à la petite série nommée ‘Flipper’. Les dauphins, évidemment, sont connus pour leurs facéties enfantines et leurs sourires de cétacés trop mignons – ce qui peut être un problème. Raconté par Ric O’Berry, l’un des dresseurs de la série, The Cove passe en revue le traitement des dauphins au Japon, à Taiji. Ce documentaire n’est pas fait pour les âmes sensibles, car il montre la cruauté animale de façon brute et choquante, et nous rappelle de quoi certains humains sont capables.
#5 : « The Bridge » (2006)
Le Pont du Golden Gate est absolument sublime, avec ses nuances orange vif et ses longues suspensions gracieuses. Il suffit d’en voir des images pour penser à San Francisco, avec ses plages ensoleillées et sa superbe côte. Mais sous cette beauté, le pont est aussi connu comme l’un des endroits privilégiés des suicidaires aux USA, d'où de nombreux malheureux sautent pour se plonger dans les eaux froides en dessous et mettre fin à leurs jours.Le documentaire explore les nombreuses raisons qui poussent les gens à sauter du pont, et ceux qui sont dépassés par ces actes tragiques.
#4 : « Bulgaria’s Abandoned Children » (2007)
Le sujet de l’adoption est généralement dépeint de façon optimiste, avec de bons parents qui cherchent à offrir un foyer à des enfants qui n’ont qu’à attendre que la bonne famille arrive. Mais en général, on ignore d’où viennent ces enfants et ce qui arrive à ceux qui ne sont jamais adoptés et donc oubliés. À Mogilino, en Bulgarie, ces enfants sont accueillis dans l’un des plus grands centres du genre, et pourtant les enfants vivent dans des conditions déplorables,sans espoir de voir leur situation changer ou s’améliorer. Tout aussi déchirant, vous pouvez mater le documentaire « Children Underground » qui suit les conséquences du bannissement controversé des moyens de contraception et de l’avortement en Roumanie.
#3 : « 4 Little Girls » (1997)
En 1963, le KKK a fait exploser une bombe dans une église afro-américaine en Alabama, ce qui a causé la mort de quatre petites filles. Réalisé par Spike Lee, ce documentaire couvre les évènements initiaux, et la loi de 1964 qui en a découlé, ainsi que d’autres attaques à caractère raciste jusqu’aux années 90.La haine et les divisions racistes ont pour habitude de retourner l’opinion publique encore et encore, peu importe l’époque. Avec des évènements tels que la Fusillade de l'église de Charleston, qui a eu lieu des années après ce film, ce style de documentaire offre un message aussi triste qu’intemporel.
#2 : « Shoah » (1985)
Il s’agit du plus long documentaire de cette liste. « Shoah » a été fait et monté en 11 ans, et fait à peu près neuf heures et demi. Cette durée permet au film d’explorer la grande tragédie de l’Holocauste dans une profondeur déchirante. Entre interviews de survivants et de témoins, on y raconte l’histoire des sites notoires en Pologne, au-delà des camps de concentration très souvent mentionnés.Il montre à quel point les atrocités n’avaient pas comme seule limite les murs de ces camps, et leur effet sur les gens et le pays restent toujours palpables.
#1 : « Dear Zachary: A Letter to a Son About His Father » (2008)
Ce documentaire ne se contente pas d’aborder la mort singulière d’Andrew Bagby, il offre tout une gamme d’émotions. Ce qui débute comme un film à la mémoire d’Andrew et de son fils à venir se transforme en une histoire de séparation, de tromperie et de meurtre qui ressemble à une œuvre de fiction. Ce qui est remarquable dans cette œuvre, c’est qu’elle ne devait pas être partagée, mais devait servir de projet personnel pour un public très précis.Malheureusement, avec le twist terrible et tragique de la fin, on comprend avec effroi pourquoi le projet a été diffusé à plus grande échelle.