TOP 10 des ÉLÉMENTS super FLIPPANTS dans les JEUX VIDÉO pour ENFANTS !

« StarFox 64 » (1997)

StarFox. Malgré ses combats spatiaux tendus, le jeu était rempli de personnages anthropomorphiques adorables. Un renard, une grenouille, un lapin, un faucon… moooh ! Les méchants étaient un cochon, un lézard et un loup. L’esthétique était vive et inoffensive, jusqu’à ce que le joueur atteigne le boss final, Andross, qui nous donnait des frissons. Andross est une tête flottante géante, dotée de deux mains détachées, que l’on combat dans un décor vert psychédélique sur la planète Venom ! De là, le combat devient de plus en plus terrifiant puisque les formes d’Andross passe d’endosquelette robot caquetant, à un cerveau géant suivant la difficulté du niveau. Il termine le jeu en fanfare, en gravant ces images dans nos esprits.

Si je meurs, je t’emporte avec moi !

« Banjo-Kazooie » (1998)

La Nintendo 64 était souvent vue comme une console trop « enfantine » à son époque. Une grande partie de ses jeux visait les enfants, avec ses couleurs vives et son atmosphère joyeuse. Aucun jeu n’est plus représentatif que « Banjo-Kazooie », qui parle du voyage d’un ours et d’un oiseau à travers des niveaux rigolos remplis de musique enjouée, et d’effets sonores loufoques. Mais les choses tournent mal quand on entre dans la Caverne de Clanker, où on nage dans un long couloir, avant d’être accueillis par des images perturbantes d’un gigantesque requin mécanique avec des yeux énormes et une mâchoire grande ouverte. On ne sait pas si Clanker voulait vraiment nous effrayer, étant donné qu’il est plutôt amical, mais la façon dont il est positionné nous a vraiment surpris.

« Donkey Kong 64 » (1999)

Semblable à l’approche mentionnée dans Banjo, DK64 c'est l'histoire d’un groupe de singes qui tentent de se réapproprier leurs bananes. Le jeu est aussi pur et innocent que possible. Rare ne voulait peut-être pas que l’on se repose trop sur nos lauriers, alors ils ont décidé de nous faire peur, mais peut-être, je dis bien peut-être, que le combat contre ce terrifiant diable à ressort est un peu trop intense ? Mad Jack saute de partout avec une intensité féroce, et son rire ressemble à celui du Joker, et n’a donc rien de rassurant. Alors je répète : on incarne juste des singes qui veulent des bananes. Pourquoi doit-on affronter cette machine à tuer ?

« Super Mario 64 » (1996)

Il s’agit du quatrième jeu sur Nintendo 64 d’affilée dans cette liste, du coup j'me dis que la console a dû être construite par Satan en personne, qui a inséré des moments terrifiants pour nous piéger. La voix joyeuse de Mario et son comportement léger en ont fait un titre parfait pour lancer la console, afin d’attirer les jeunes joueurs et joueuses. Tout allait bien, jusqu’à ce qu’on se rende dans le Manoir de Boo, qui se devait d’être un peu flippant vu le décor, mais Nintendo est allé plus loin encore, et a ajouté un petit « coup de pouce » supplémentaire. Comme un jumpscare tout droit sorti d’un slasher des années 80, le piano prend vie et se met à mordre avec des dents acérées.

« Metroid : Fusion » (2002)

Samus, un X t’imite. Je l’ai nommé SA-X.

Si la franchise Metroid a toujours incorporé des éléments de terreur spatiale, le SA-X nous donne toujours la chair de poule. Ça vient peut-être du fait qu’il s’agit d’un parasite qui a infecté Samus Aran et qui décide de lui ressembler comme un sosie flippant. C’est peut-être la façon dont elle erre dans les couloirs à notre recherche, ou ses yeux pâles et sans vie, ou encore sa transformation en un monstre hideux. Ouais, ça doit venir de la dernière raison, en fait. On ne compte pas les nuits d’insomnie que ce jeu a provoquées, malgré nos parents qui nous rassuraient. Enfin, insomnie dans le sens où on avait trop peur de s’endormir.

« Spider-Man » (2000)

Oh non, je dois sortir de là.

Laissez-moi récapituler le niveau de « peur » présent dans la galerie des méchants de Spider-Man. Venom fait peur, Carnage fait très peur. Ock en monstre est méga terrifiant !!

Qu’est-ce que ? C’est Ock ?

Si vous vous demandez ce à quoi ressemblerait le Docteur Octopus si le symbiote Carnage se liait à lui… et bien, le voilà ! Le pire, c’est que ce personnage ne vient même pas des comics. Ce sont les développeurs qui l’ont créé pour le jeu, en sachant très bien que des enfants allaient jouer ! L’affreux monstre nous a bien fait flipper, mais on n’aurait jamais cru qu’on associerait cette franchise à des trucs aussi cauchemardesques. Dans les moments paroxystiques du jeu, les joueurs doivent garder leurs distances avec le monstre. Fuir ce truc ? Pas de problème !!

« Super Paper Mario » (2007)

Les pianos hantés ne suffisaient pas à Mario et Cie, puisque dans cette troisième entrée dans la franchise Paper Mario, on a droit à des trucs bien chelous. Ce fleuve (et on traduit directement de la page Wiki) est « rempli des larmes des pécheurs », ce qui explique sa teinte violette. C’est trop mignon.

Si elles rencontraient une personne vivante, elles tentaient de l’attirer vers le bas.

Si l’esthétique ne vous perturbe pas, alors les sons pourront s’en charger. Un savant mélange de cris, de grattement et d’autres bruits constitue la musique de ce niveau, qui vous hantera pendant très longtemps. Les joueurs ont déclaré que la musique contenait un message subliminal, et même des voix semblables à un disque joué à l’envers. On vous laisse en juger.

« Minecraft » (2011)

Ce jeu a été adopté par des joueurs de tous les âges, même s’il a eu un gros impact sur les plus jeunes joueurs. Du coup, on veut bien croire que les enfants ont été traumatisés par les spécimens bizarres que sont les Endermen. Si on les provoque, ils tremblent de façon incontrôlable et laissent échapper un cri infernal en pourchassant le joueur sans relâche. Pour empirer les choses, ces abominations possèdent des capacités spéciales, telles que le fait de devenir invisibles et de se téléporter dans l’environnement. Vous savez, pour un jeu qui encourage l’imagination et la création de monde… on a un peu de mal à se concentrer avec des trucs pareils qui se baladent autour de nous, et peuvent surgir à tout moment !

« The Legend of Zelda: Ocarina of Time » (1998)

La série Legend of Zelda n’est pas dépourvue d’images effrayantes, comme par exemple la transformation du masque dans Majora’s Mask. Ce n’est pas grave, ça nous a endurci, et on a appris à regarder la peur dans les yeux. Mais le moment le plus difficile a été le fond du puits. Comme si explorer un environnement sombre et lugubre n’était pas suffisant, la pièce qui contient la créature blanche a vraiment de quoi nous donner une crise cardiaque.

L’armée de longs bras rend la rencontre très difficile avec un côté claustrophobe, et les affreux cris résonnent dans notre esprit depuis 1998. Si les gens n’utilisent plus de puits, ce n’est pas à cause de l’avancée de la technologie, mais à cause d’Ocarina of Time ! WTF Nintendo, franchement !

Avant de dévoiler notre vainqueur, voici quelques mentions honorables :

Les messages flippants cachés
« Sonic CD » (1993)

Le niveau 14
« Lemmings » (1991)

La reine des Vortex
« Ecco The Dolphin » (1992)

« Earthbound » (1994)

Comme si les séquences de visions du Prince Poo n’étaient pas assez terrifiantes pour les enfants, Giygas est sans aucun doute responsable des tics nerveux qu’on a choppé en grandissant. Les termes effrayants, terrifiants et horrifiques ne suffisent pas, et en général, on ne tombe pas à court d’adjectifs ! En tant qu’antagoniste principal, Giygas est également nommé « l’incarnation du diable » et « le destructeur cosmique », et son but est de faire tout ce qu’il peut pour établir un royaume de ténèbres infinies. Plutôt sombre, pour un jeu aussi kitsch.

J’ai mal… ça fait mal… Cody…

Est-ce qu’on a vraiment besoin de s’étaler davantage ? Regardez-le ! Il est tordu, rouge et en le voyant, on se demande si Earthbound a vraiment été produit pour la Nintendo.

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