TOP 10 des FILMS trop TRISTES pour les RE-REGARDER !

« House of Sand and Fog » est un film puissant mais souvent oublié avec Ben Kingsley et Jennifer Connelly à l’affiche. Ça raconte leur conflit pour obtenir le contrôle d’une maison, ainsi que la destruction de plusieurs vies impliquées dans l’histoire. Le film prend un sujet plutôt sobre, et le transforme en tragédie – une enquête sur les nombreuses façons dont la vie peut s’effondrer, avec une fin pleine d’émotions violentes, à cause du suicide d’un couple iranien. Si la fin du roman est encore plus sombre et déprimante, le film est déjà suffisamment perturbant. Un visionnage garantira une bonne expérience et quelques pensées sombres, mais on n’a pas vraiment envie d’y replonger.

Les studios Ghibli nous offrent souvent des films créatifs et plein de merveilles, mais le Tombeau des Lucioles peint une représentation réaliste de la vie japonaise à la fin de la 2nde Guerre Mondiale. Le film commence avec violence, en nous montrant un jeune garçon qui meurt de faim. De là, le film ne nous offre aucun repos, et remonte dans le temps pour nous montrer comment on en est arrivés là, dans des détails atroces. On a droit à des images horribles et bien trop réaliste, avant de voir les personnages sombrer dans le désespoir et la mort. Il est souvent considéré comme l’un des meilleurs films anti-guerre, grâce à son portrait de vies innocentes prises entre deux feux.

Depuis la sortie du film en 1982, le choix titulaire s’est intégré à la culture pop – il s’agit d’une scène si déchirante que même ceux qui n’ont pas vu le film savent de quoi il s’agit. En arrivant à Auschwitz, Sophie doit prendre une terrible décision et choisir l’un de ses enfants, ce qui signifie envoyer l’autre dans les chambres à gaz.Rien que cette révélation étouffe dans l’œuf l’envie de revoir Le Choix de Sophie, même si c’est loin d’être la seule scène difficile. Meryl Streep a bien mérité son Oscar, et rend par la même occasion le film encore plus réaliste et perturbant. Si l’oeuvre vaut le coup d’être vu, un seul visionnage est amplement suffisant.

Ceux qui ignoraient l’énorme twist de Million Dollar Baby ont halluciné quand il est arrivé. Le film débute comme une version féminine de Rocky : une boxeuse en herbe nommée Maggie s’entraîne avec un vieil home grognon nommé Frankie. Mais le film prend un virage à 180° quand Maggie devient tétraplégique après s’être brisée la nuque. Le tout part ensuite dans une spirale d’émotions exténuantes et de tragédie familiale, en abordant également la moralité de l’euthanasie.Clint Eastwood est connu pour ses films difficiles et extrêmement personnels, mais d’après nous, Million Dollar Baby est facilement le plus déchirant, et constitue une expérience très compliquée et déprimante.

Quelles que soient vos croyances religieuses, La Passion du Christ est un long-métrage tellement dérangeant qu’un visionnage suffit amplement. Le film a été critiquée à sa sortie pour sa violence excessive, puisqu’une bonne portion de l’œuvre est dédiée à la torture et à la mort imminente du Christ. Roger Ebert l’a qualifié du « film le plus violent qu’il avait jamais vu », tandis que d’autres l’ont comparé à un snuff movie. Les spectateurs se rappelleront plus de la terrible violence que des thèmes religieux. On n’a que peu de raisons de regarder le film deux fois, une fois suffira à graver d’affreuses images dans votre cerveau.

« Precious » a été produit par Oprah Winfrey, du coup, on savait qu’il allait être triste. Le film explore des thèmes que la plupart des œuvres d’Hollywood refusent d’aborder. Precious est une ado de 16 ans qui est violée par son père et tombe enceinte à deux occasion séparées. Sa mère l’utilise, elle et son enfant, atteinte de trisomie 21, afin de recevoir des allocations.Precious apprend ensuite que son père lui a transmis le VIH. Et si le film se termine sur une note positive, les deux heures précédentes sont très éprouvantes, notamment grâce à la performance incroyable des actrices et acteurs, et à la vision terriblement réaliste du viol et de la pauvreté.

Surnommé la « Liste de Schindler » africaine par certains, Hôtel Rwanda parle de l’histoire vraie du génocide rwandais qui a causé la mort de centaines de milliers de personnes entre l’été et le printemps 1994.Si l’histoire parle surtout d’espoir et de survie (Paul Rusesabagina a sauvé 1268 rwandais du génocide), le film montre énormément de violence extrême et de haine. Si la violence est rarement explicite, l’insinuation est affreuse, et savoir que le film raconte un massacre qui a vraiment eu lieu rend le visionnage encore plus difficile et éprouvant. Certaines des images de l’œuvre, comme la célèbre scène de la route, vous marqueront à vie.

Tous les films concernant un génocide ou l’Holocaust sont difficile à regarder, et Le Garçon au pyjama rayé ne fait pas exception. On suit un petit garçon allemand nommé Bruno qui se lie d’amitié avec un petit garçon juif du nom de Shmuel dans un camp de concentration. On est ensuite témoin d’images extrêmement dérangeantes telles que le passage à tabac d’un vieil homme, les prisonniers affaiblis du camp, avant que le film se termine sur la mort de Bruno ET de Shmuel dans une chambre à gaz. Les histoires autour de l’Holocauste sont forcément sombres, mais avec la mort de deux petits garçons, c’est encore pire.

Si « le choix de sophie », « hôtel rwanda » et « Le Garçon au pyjama rayé » partagent des thèmes similaires à la Liste de Schindler, ce film est probablement le plus douloureux de tous, à cause de la violence dépeinte à l’écran. La liste de Schindler n’y va pas de main morte, et présente aux spectateurs les actes les plus dérangeants et atroces de l’Holocauste jamais montrés dans un film. Le jeu d’acteur est tellement hypnotisant que l’on ressent toute la douleur, la peur et le dégoût des malheureux personnages. La fin, qui montre certains des vrais Schindlerjuden, soit les juifs sauvés par Schindler, déposant des pierres sur la véritable tombe d’Oskar Schindler, vous fera éclater en sanglot. Il s’agit d’un chef-d’œuvre incontestable, mais on comprendrait parfaitement que vous ne le regardiez plus jamais.

Avant de dévoiler notre vainqueur, voici quelques mentions honorables :

« La vie est belle » (1997)

« Blue Valentine » (2010)« Boys Don’t Cry » (1999)

“Requiem for a Dream” est probablement le film le plus déprimant de tous les temps. Il nous offre une vision réaliste de la décadence de l’addiction à la drogue, puisque chaque personnage tombe lentement dans une spirale infernale de ruine et de regret. Sara est accro aux amphétamines et devient folle, ce qui donne lieu à une thérapie par électrochoc. Les injections d’Harry s’infectent, et il doit se faire amputer du bras, tandis que Marion vend son corps pour de l’héroïne. En dehors de l’histoire pessimiste, les images sont terrifiantes et les performances sont simplement déchirantes. En plus d’être l’un des films les plus tristes du monde, il est terriblement effrayant.