TOP 10 des IDÉES DE OUF complètement GÂCHÉES au CINÉMA !
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Quels sont les films qui auraient pu tout casser avec un super concept, mais ont tout gâché ? Chappie ? Hancock ? Time Out ? Joignez-vous à nous pour le décompte de cette liste des 10 concepts de ouf très mal exploités au cinéma !
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Quel gâchis ! Bienvenue sur WatchMojo Français, aujourd’hui nous faisons le décompte du Top 10 des concepts géniaux qui ont été gâchés dans des films médiocres.
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Pour cette liste, nous passons en revue les films qui disposaient d’une idée en or, sans savoir lui rendre justice, à cause d’un mauvais scénario, de mauvais acteurs, de complications inutiles, ou simplement d’une mauvaise exécution générale. Notez cependant que nous n’inclurons pas les adaptations de romans, comics, ou jeux vidéo très médiatisées, ou les remakes de séries ou films populaires.
#10 : « Morgane » (2016)
Ce film d’horreur/SF n’a pas seulement gaspillé son concept prometteur, il a aussi gâché son casting pourtant fort. Kate Mara incarne Lee Weathers, une experte convoquée pour évaluer une expérience humaine, une intelligence artificielle organique nommée « Morgane », incarnée par la talentueuse Anya Taylor-Joy. Avec Rose Leslie, Michelle Yeoh, et Paul Giamatti en stock, ainsi qu’un postulat qui ouvre les portes à la réflexion sur la définition de la vie, de la perso-nalité, et l’éthique scientifique, le film avait le potentiel de faire quelque chose de remarquable. Malheureusement, il ne fait pas grand-chose de ses qualités, et ne propose qu’une histoire superficielle. On est loin d’Ex-Machina…
#9 : « Que justice soit faite » (2009)
Quelque part dans le multivers, il existe un monde parallèle dans lequel Que Justice Soit Faite est VRAIMENT un bon film. Mais ce n’est pas le nôtre. Dans ce film, Gerard Butler incarne un justicier vengeur, Clyde Shelton, qui affronte l’avocat Nick Rice, joué par Jamie Foxx. Lorsque Rice convient d’un arrangement avec l’homme qui a tué la femme et la fille de Shelton, ce qui lui permet d’être libéré, Shelton se charge de se faire justice. On aurait dû avoir une réflexion sobre sur le chagrin et le système judiciaire, mais au lieu de ça, on se perd dans un sérieux inutile, avec un scénario absurdement réaliste qui n’a rien de profond, malgré le cœur de l’histoire.
#8 : « Chappie » (2015)
Le réalisateur Neil Blomkamp est un homme à idée. « District 9 », « Elysium », et « Chappie » ont chacun un postulat prometteur, mais quand on regarde sa filmographie, sa qualité baisse. En 2015, dans Chappie, un robot de police endom-magé est volé, et reçoit un nouveau programme d’IA, avant d’être élevé par des gangsters Sud-Américains. Même bien fait, on aurait eu un résultat étrange, mais si le film a du cœur, il est trop maladroit pour arriver à la hauteur de son potentiel narratif. Les acteurs non professionnels et des éléments parfois trop loufoques ont fait de cet « E.T » pour adulte un ratage brouillon.
#7 : « Jennifer’s Body » (2009)
Chaque fois que l’horreur est à court d’idées, des films comme « La Cabane dans les Bois », « Get Out », ou « Sans un Bruit » arrivent et donnent un coup de pied dans la fourmilière. Lors de sa sortie en 2009, « Jennifer’s Body » semblait être de la même veine, surtout avec la scénariste de « Juno » dans ses rangs. Comédie horrifique aux thèmes féministes, le film avait un postulat très sympa, et souhaitait renverser les standards des femmes victimes, en parlant de l’intensité de l’amitié entre femmes, le tout en les valorisant. Le problème, c’est qu’il ne parvient pas à nous faire peur, ni à nous faire rire.
#6 : « American Nightmare » (2013)
Lorsque le premier film de la saga American Nightmare est sorti, les fans d’horreur ont été atterré par l’opportunité manquée. La Purge annuelle, une période de 12h où toutes les lois sont suspendues, afin que les gens puissent se purger émotionnellement. Mais qu’a fait le film après nous avoir fait saliver avec cette histoire ? Il nous fait un petit home-invasion sans saveur, autour de rancœurs de voisinage. Le postulat, et tout ce qu’il implique, a été utilisé comme excuse pour raconter une histoire d’horreur que l’on a vu des centaines de fois. Heureusement, la franchise a au moins essayé de réparer cette erreur dans les suites.
#5 : « Hancock » (2008)
Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué, hein. Hancock a connu le succès au box-office, parce que Will Smith, tout simplement. Mais il aurait pu être largement meilleur, ce qui aurait rapporté de l’argent ET des bonnes critiques. Superhéros malchanceux, alcoolique et doté de pouvoir dignes de Superman, Hancock possède une histoire intéressante et unique, qu’on n’avait pas encore vu au grand écran – avec des thèmes tels que la solitude, et le poids des responsabilités. Au lieu d’en faire un film intime, les créateurs ont oscillé entre comédie et drame, avec des twists inutiles et une histoire complexe.
#4 : « Bienvenue à Suburbicon » (2017)
Les thèmes autour du racisme exigent du doigté, surtout quand on approche le sujet sous l’angle de la comédie noire. Honnêtement, c’est George Clooney qui est aux commandes du film, et il l’a coécrit avec les frères Coen et George Heslov, du coup, on peut apprécier ce qu’il tentait de faire. On ne parlerait même pas de ce film s’il n’avait pas un énorme potentiel complètement inexploité. Quelque part en dessous de toutes les erreurs, se trouve une enquête pertinente sur la vie dans les banlieues américaines, l’illusion de la famille parfaite, et un commentaire sur les préjudices raciaux. Malheureusement, rien de tout ça n’est visible dans le film.
#3 : « Time Out » (2011)
Un concept convaincant est un prérequis dans n’importe quel film de SF. Mais même avec ça, la qualité d’une œuvre est loin d’être garantie. Le réalisateur et scénariste Andrew Niccol l’a déjà fait avec « Bienvenue à Gattaca », et en termes de concept, et il avait le potentiel pour nous faire un nouveau chef-d’œuvre. Mais il a raté son coup. Avec Justin Timberlake et Amanda Seyfried, le film explore un monde dans lequel le temps qu’il vous reste à vivre est aussi une monnaie d’échange – on peut en gagner, acheter des choses avec ou… se le faire voler. Malheureusement, au lieu de faire un commentaire autour du capitalisme, de l’inégalité de la répartition des richesses ou de l’accès aux services médicaux, on a droit à une sorte de Bonnie & Clyde/ Robin des bois du futur.
#2 : « Waterworld » (1995)
Soyez honnêtes, vous avez un peu envie de voir le remake de ce film, non ? Bon, peut-être pas un vrai remake, mais au moins, un film qui reprenne le postulat pour lui donner une nouvelle chance. En terme de futur post-apocalyptique, un monde dans lequel la banquise a fondu pour recouvrir la terre d’eau mériterait d’être mieux représenté à l’écran. Le concept reste fascinant, et largement inexploité. « Waterworld » était un ratage bien avant que le public puisse le voir, à cause de sa production notoirement cauchemardesque, mais au-delà de ça, l’histoire du film est surtout très ennuyeuse, dans un monde pourtant captivant.
#1 : « Transcendence » (2014)
Vu les œuvres magnifiques qu’il a faites lorsqu’il travaillait sur des films de Christopher Nolan avec qui il a souvent collaboré, les gens étaient ravis d’entendre que Wally Pfister attaquait son premier film – surtout qu’il s’agissait apparemment d’un thriller de SF assez riche, un peu similaire à Inception. Dans ce film, un chercheur brillant dans le secteur de l’I.A transcende les barrières physiques pour la première fois, en transférant sa conscience dans un ordinateur, et au final, sur internet. L’histoire passe en revue tout un tas de question particuliè-rement pertinente aujourd’hui… mais ne raconte absolument rien de profond – et préfère nous proposer une histoire superficielle, se vautrant douloureusement malgré un sujet passionnant.