TOP 10 des JEUX de TIR les plus ÉTRANGES !

« South Park » a été converti en tout un tas de jeux vidéo au fil des ans. On a eu droit à l’affreux jeu de course, ou encore « Bâton de la vérité » et « South Park : L'Annale du destin » qui étaient des RPG étonnamment bons. Mais il y a également eu ce FPS, parce qu’après tout, rien ne fait plus penser à South Park que des rafales de tirs, on imagine ? Le jeu est plutôt simple : on contrôle l’un des quatre personnages principaux, et on attaque des ennemis inhabituels avec des armes ridicules et étranges. Voilà, c’est tout ce que le jeu propose… S’il était affreux sur PC et Playstation, la version de la Nintendo 64 était étonnamment agréable, pour ceux qui étaient fans de South Park et de son humour tordu dès ses débuts.

Au moins, il est original. Peu de gens ont entendu parler de « PO’ed », destiné à l’origine au naufrage qu’était la 3DO, avant de sortir sur PS1. Dans le jeu, vous incarnez un chef cuisinier qui doit se battre contre divers aliens après s’être écrasé sur une autre planète. L’histoire paraît banale, (si l’on enlève le chef), mais le jeu prend un tournant unique avec son humour dingo (qui devient vite fatigant, cela dit). Quoi de mieux que d’abattre un fessier ambulant avec une poêle… ? Et dire que ce n’est que le début du jeu.

Eh oui, en 1997, il existait un jeu nommé « Forbes Corporate Warrior ». Il a même été comparé à un mélange entre « Doom » et une grande école de commerce américaine ! Ça paraît génial, non ? Rien ne vaut un petit moment de détente dans une école de commerce ! Dans ce jeu, vous incarnez le dirigeant d’une start-up qui doit grimper les échelons en utilisant des « armes d’affaires », dont le laser de pub et le missile marketing. On va s’arrêter là, parce que c’est vraiment débile.

S’il y a une chose que Chex Quest a réussi à faire, c’est lancer la mode des jeux vidéo dans les boîtes de céréales. Vous imaginez si l’on faisait encore ça aujourd’hui ? Les boîtes de céréales partiraient comme des petits pains. Créé comme campagne de promotion pour les céréales, « Chex Quest » a remporté un Effie Award en 1996, un prix prestigieux dans le monde du marketing. Si le jeu paraît similaire à Doom, c’est parce que c’est le même jeu avec un skin différent. Mais bon, il est destiné aux enfants qui ne devraient de toute façon pas jouer à Doom. Alors ça passe, on va dire.

On va commencer par préciser que le titre est horrible. Pourquoi ne pas l’appeler « Super Noah's Ark 3D » ? Que fait le 3D au milieu du titre ? C’est le bazar, et le jeu n’est pas mieux. La sortie de Wolfenstein a embrasé le monde du jeu vidéo, et d’un seul coup, tout le monde –des produits céréaliers aux développeurs de jeux chrétiens– se prêtait à cette mode. Dans ce jeu, vous incarnez Noé, celui de la Bible, et votre objectif est de tirer des sédatifs sur les cinq millions de chèvres qui se promènent dans l’arche. Comme notre dernière entrée, ce jeu est littéralement un nouveau skin de Wolfenstein 3D. Mais là, ça a encore moins de sens. Et c’est dire, puisque l’autre promouvait des céréales.

Ce jeu caricatural et préhistorique ressemble un peu à un stéréotype total de la fantasy vu qu’au début de l’aventure, les parents du personnage Ghat’s sont tués. Mais les clichés simplistes s’arrêtent là, puisque le gameplay de Zeno Clash devient l’une des variations les plus bizarres du genre FPS.Si le jeu s’appuie surtout sur le combat de mêlée, son arsenal est constitué d'équivalents en os et en cailloux des armes typiques de FPS. Si vous cherchez un FPS très différent, Zeno Clash est un mélange sympa d’éléments familiers et super chelous.

Ouais, un jeu sur les rednecks, c'est à dire les bouseux ! L’histoire du jeu est centrée sur les frères Leonard et Bubba qui tentent de trouver leur précieux cochon Bessie, tout en combattant une invasion extra-terrestre, parce que pourquoi pas. Le gameplay est encore plus ridicule que l’histoire, et on mange des trucs comme de la couenne pour remplir sa barre de vie… mais si on en prend trop, on se met à péter. Si ça paraît bizarre, le jeu ne se prend pas au sérieux et peut être sympa. Et puis bon, c’était les années 90.

« Superhot » est un FPS typique, puisque l’objectif du jeu est d’atteindre la fin du niveau en tuant tout ce qui se dresse sur notre chemin. Mais il possède une approche très originale, étant donné que le temps n’avance que si l’on bouge. Du coup, on a tout le temps du monde pour établir une stratégie, contrairement à la plupart des FPS qui nous lâchent en plein milieu de l’action. L’environnement du jeu est aussi très minimaliste, et possède des graphismes polygonaux qui n’apparaissent qu’en blanc, rouge et parfois noir. Dans un marché saturé, « Superhot » est une lueur d’espoir et d’originalité, même s’il paraît étrange.

Vous vous souvenez du bon vieux temps, où l’on se posait sur un canapé pour jouer avec nos amis sur un écran partagé ? Et que lesdits amis vous accusaient de regarder leur écran ? À l’époque, cette tactique paraissait nulle, mais ce jeu unique en a fait tout un concept.« Screencheat » est un jeu multijoueur dans lequel chaque joueur est invisible, et la seule manière de trouver les autres est de regarder tous les écrans. L’idée est fun et novatrice, et joue très bien sur la nostalgie des jeux d’antan.

Produit par une société très populaire, « Oddworld : La Fureur de l'étranger » n’était pas le pari le plus sûr. Il était même vachement chelou et peu conventionnel ! Bravo à EA d’avoir osé le publier. Même une horloge cassée a raison deux fois par jour, après tout !Le jeu paraît simple : vous incarnez un chasseur de primes qui voyage et collecte les primes. Mais on y trouve aussi des concepts ridicules tels que le fait d'utiliser des créatures étranges comme munitions pour notre arbalète. Le titre est extrêmement original pour l’époque, et il était également assez divertissant !