Top 10 des PIRES MÉCHANTS du JEU VIDÉO !

/!\ FIEVEL se prononce /faïveul/
L’émotion principale que véhicule ce film de Don Bluth, c’est une tristesse grandissante, tandis que le jeune Fievel Souriskewitz ne parvient pas à retrouver sa famille immigrée. Enfin, jusqu’à ce qu’on arrive vers la fin. Pour venir à bout du méchant, Boniface de Rat, les souris de New York s’associent pour créer une machine aux allures d'un monstre légendaire connu sous le nom de la Souris Géante de Minsk.

C’est la Souris Géante de Minsk !

Mais en plus d’effrayer les chats, ce cauchemar ambulant a terrorisé tous les enfants du public. S’il est sombre, ce moment nous rapproche au moins d’un happy-ending.

On a réussi !

Je veux descendre, Wonka !

Vous pensiez qu’une visite dans une chocolaterie serait un véritable rêve ? Perdu. Si les gagnants des tickets d’or et leur famille ont droit à une expérience unique et sucrée, ils se retrouvent également dans un bateau infernal.

Plus vite !

Alors qu’ils traversent un tunnel, d’horribles images apparaissent sur les murs. Mais ce n’est pas le plus terrifiant. Cet honneur revient à Willy Wonka, qui chante un air très déplaisant sur le désastre éventuel qui pourrait clore leur voyage.

Il n’existe aucun moyen de deviner, dans quelle direction nous allons voguer.

La scène a beau se terminer très rapidement, on est presque sûr que les cinéphiles sont toujours traumatisés par cette scène.

Il y a de plus en plus de danger, car les rameurs continuent à ramer !

Que se passe-t-il ?

Ici, il y a deux niveaux d’horreur. D’abord, il y a le fond vert pour le moins raté qui nous abîme parfois les yeux, et puis il y a les fêtards. On nous balance déjà pas mal de marionnettes dérangeantes qui donneraient des frissons à n’importe qui, mais quand ceux-là arrivent, le film devient encore plus dingue.

- J’y jette ma main.
- Il jette sa main.
- Avec la bande la plus cool du pays.

Non seulement ces créatures mettent le feu à tout et n’importe quoi, mais en plus elles semblent s’éclater en retirant leur propres têtes et en s’arrachant les yeux. Même si elles ressemblent aux Muppets, voir les membres de ces créatures voler est carrément flippant.
Hé, madame !

Maman, papa ! Je suis de retour !

Prends-en de la graine, Tim Burton ! Voilà comment on créé la peur dans une adaptation d’Alice aux Pays des Merveilles. Dans cette version télévisée du classique de Lewis Caroll, on voit Alice revenir chez elle après ses folles aventures. Il n’y a qu’un problème : elle est du mauvais côté du miroir.

Maman, papa, je suis là ! Regardez !

Incapable d’atteindre ses parents, Alice reçoit rapidement la visite du Jabberwocky. Les effets mécanique du costume n’ont pas bien vieilli, on vous l’accorde, mais en matière d’impact, un tel monstre pourrait bien pétrifier n’importe quel enfant qui aurait le malheur de regarder cette adaptation.

Amène ton armée dans la Forêt Hantée et ramène cette fille et son chien.

Et vous qui n’aimiez pas la Méchante Sorcière de l’Ouest. Certes, cette antagoniste culte à la peau verte a terrorisé pas mal d’enfants avec son rire strident, mais comparée à ses sbires ailés, ce n'est pas elle la plus effrayante.

Volez !

Si leur temps à l’écran est très limité, la vue de centaines de monstres volants qui descendent du ciel et entourent Dorothy a rempli de terreur un paquet d’enfants. Vu l’air démoniaque de ces singes et leur nombre, on comprend pourquoi la sale réputation de ces créatures a résisté au temps.

- Tu vas aller dans l’étouffoir, jeune fille !
- L’étouffoir ?

Est-ce qu’on peut admettre que ce film est une compil' de violences faites aux enfants ? La punition ultime pour les élèves pas sages conçue par la monstrueuse Mlle Legourdin est tellement cruelle... Il s'agit d'un petit placard rempli de bouts de verre et de clous, qui force les enfants à rester droit comme des piquets pour ne pas se blesser.

Rentre, espèce de bol de pus !

L’école est déjà assez horrible comme ça, mais l’idée qu’un professeur puisse vous infliger une telle cruauté a de quoi effrayer n’importe quel petit. On espère que vos enseignants ne se sont pas trop inspirés de cette œuvre.


Ça va ?

Les années 80 se faisaient plaisir niveau contenu pour adultes. Dans ce film d’aventure fantastique très sous-estimé, un guerrier capable de parler avec les animaux se bat contre un sorcier maléfique pour venger son peuple et libérer une communauté réduite à l’esclavage. Il y a du sang, des seins, des animaux tous mignons, tout ce que demande le peuple dans un film d’aventure. Puis, ces créatures se pointent. On ne sait rien de leur histoire, mais visiblement leur kiff c'est de piéger des humains dans leurs ailes avant de les asperger d’acide jusqu’à ce qu’il ne reste plus qu’une pile de chair et d’os. Charmant.

Quel appareil miraculeux.
En général, on aime la musique dans les dessins animés. Mais quand c'est ce monstre qui pousse la chansonnette, on commence à flipper... En tant qu’entité démoniaque qui s’épanouie grâce à la pollution, Hexxus ne perd pas une seconde et profite d’une société d’exploitation forestière et de ses machines pour ressusciter en chanson.


Elle explose ma crasse – toxicose !

Si le morceau est entraînant et agréable, son apparition est son exact opposé. Puis, il y a sa forme finale, où il perd toutes ses manières mielleuses et devient une bête diabolique. On imagine que les enfants des années 90 ont encore du mal à s’en remettre.

Crysta !

Un chien enragé débarque et met en pièces d’adorables petits lapins avec ses mâchoires ensanglantées, comment ne pas être traumatisé par une telle scène ?! Dans ce film d’animation déchirant, on pourrait croire que le pire serait de voir les lapins s’entretuer, puis ce molosse déboule et la situation devient encore plus gore.

Sauvez-vous !

L’horrible cabot assoiffé de sang et le lapin dérangé se lancent alors dans un combat final. On ne nous montre jamais le résultat, mais vu ce qu’on vient de subir, on imagine que ce n'est pas beau à voir.

On y est, les enfants. Prenez vos sucettes.

Vous vous souvenez de la fantaisie de ce film ? De ses chansons délicieuses, et de l’histoire qui tourne autour d’une voiture miraculeuse ? Les enfants qui l’ont vu, eux, se rappellent souvent d’une chose, c’est du méchant au chapeau et au gros nez qui capture des enfants.

Il y a des enfants dans le coin.

D’accord, il ne fait rien d’horrible à l’écran, mais vous arrivez honnêtement à regarder la scène où il tente d’attirer des enfants avec des bonbons sans vous sentir mal à l'aise ? Ça a beau être une fiction, il y a quelque chose dans ce personnage qui le rend très réel, et très perturbant.

Sucettes. Venez mes petits. Sucettes.

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