Top 10 GAMERS PRIS en train de TRICHER HUMILIÉS EN PUBLIC !

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Quels sont les pire scandales de tricheries dans les compétitions de gaming ? L'équipe de Azubu Frost ? SF, KQLY et sen dans le DreamHack Winter 2014 ? Joignez-nous pour le décompte de cette liste des 10 scandales les plus choquants, agaçants et étonnants du monde vidéoludique professionnel !
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10 : Dopage à l'Adderall
« Counter-Strike: Global Offensive » (2012)
Excusez-nous si l’on écorche certains de vos noms, bande de vilains tricheurs. Lors d’une interview avec Mohan "Launders" Govindasamy, Kory "Semphis" Friesen a nonchalamment admis que son équipe avait pris de l’Adderall lors de l’ESL One Katowice (Ko-ta-oui-ce) en 2015.
Je m’en fiche, on était sous Adderall. Je m’en contrefous.
La controverse s’est répandue dans le monde de l’eSport, alors que les magazines tels que le New York Times ont couvert l’histoire. En réponse, l’ESL a annoncé la mise en œuvre de standards anti-dopage. Cloud9 commentera plus tard la controverse, en affirmant que l’équipe « n’approuvait pas l’utilisation illégale de drogues pour améliorer les capacités de ses joueurs ». Dans une autre interview, « Semphis » a affirmé que l’utilisation d’Adderall constituait un incident isolé.
Si quelqu’un a pris de l’Adderall, c’était un cas isolé.
9 : Le feeder
« Halo 5 » (2015)
Tricher, c’est nul, peu importe l’ampleur de l’enjeu. Dans un tournoi relativement petit d’Halo 5 en free for all pour 250 euros, un joueur – Ryno - a été accusé de donner des kills à un autre joueur. Quand un membre de la communauté a posté des vidéos sur Twitter, en soulignant la nature suspecte du kill, Ryno a répondu en avouant sa complicité. Ne voyant pas le mal dans son geste, il a déclaré que les gens qui ne s’attendaient pas à ce genre de chose étaient « littéralement des imbéciles ». Peu de temps après, les organisateurs ont banni Ryno de leurs évènements premium pendant un mois, et ont rejoué le tournoi sans lui.
On a une victoire.
8 : Flex
« Counter-Strike: Global Offensive » (2012)
Tous ceux qui ont déjà joué à Counter-Strike et ont connu des mauvaises parties ont déjà crié au Hack, mais il est assez rare que les adversaires trichent vraiment. C’est sûrement ce que pensait l’équipe Grandpa Berets pendant leur match en live sur ESEA contre l’équipe ESP.
En tant que caster, j’aurais tout vu. C’est…
À 8 matchs contre 2, alors qu’ils perdent contre un cetain joueur semi-pro nommé Flex, l’équipe a dû être ravie de le faire bannir au début du 11ème match. Quelle catharsis ! Mais la cerise sur le gâteau, c’est la réaction en direct de la part des casters.
- Ça explique beaucoup.
- Bon, alors Flex a été banni d’ESEA pour avoir triché.
- Il a triché.
(D1ablo: se pronounce quand meme Diablo)
7 : D1ablo
« Call of Duty 4: Modern Warfare » (2007)
DIABLO
Nom : Tom Newman
Age : 17
Arme: AK74
Comme dans les sports traditionnels, la liste des joueurs est importante dans l’eSport. Quand l’équipe pro de Call of Duty, FatGames, a engagé un nouveau joueur, Tom ”D1ablo” Newman avant un tournoi ESL, la ligue les as informé que son entrée dans l’équipe était trop récente pour qu’il puisse concourir. Mais FatGames a donné à D1ablo les données de connexion d’un membre plus vieux, Stat, et l’ont « déguisé » en lui. Le souci, c’est qu’il était évident qu’il s’agissait d’un autre, et après une rapide vérification de l’adresse IP, D1ablo a été banni pendant 6 mois, et FatGames a perdu l’estime de la ligue. Bien joué, les mecs.
6 : Virtus Pro dans la finale du Summit 5
« Dota 2 » (2013)
Virtus Pro est forcée de fuir. Sans réussir le wombo combo.
Lors des qualifications de la finale du Summit 5, entre Virtus Pro et Ad Finem, un incident fâcheux a eu lieu. En effet un joueur de VP, ALOHADANCE, perd sa connexion internet dans le 3ème match dans l’une des meilleures séries de cinq. Alors qu’il ne parvient pas à se reconnecter dans le temps de pause alloué, VP perd la partie avec un joueur en moins.
Virtus Pro va abandonner le jeu. Une sacrée riposte.
Mais c’est dans la partie suivante que la situation devient bizarre. ALOHA s’est reconnecté, mais visiblement quelqu’un joue à sa place. VP a réussi à gagner, mais lorsque les spectateurs se sont aperçu de la supercherie, VP a confirmé sur Twitter qu’ils avaient recruté un autre pro, « Noone », pour jouer via le compte d’ALOHA, et qu’ils étaient forcés d’abandonner le tournoi pour tricherie.
C’est le jeu. Félicitations, Virtus Pro. Ils reviendront pour concourir lors du Summit 5.
5 : SF, KQLY et smn
« Counter-Strike: Global Offensive » (2012)
…
Là, on est dans le trois-en-un. SF d’Epsilon eSports, et KQLY qui venait d’être embauché chez Titan eSports se sont fait chopper alors qu’ils trichaient une semaine avant la DreamHack Winter 2014. Les deux joueurs ont évidemment été bannis du tournoi, mais ce qui est dommage, c’est que leurs deux équipes ont été également disqualifiées. Les mesures prises ont mené un autre pro, smn, un membre de Team Alternate, à se faire attraper dans un jeu sur ESEA. Il a affirmé par la suite qu’il était facile de tricher, même dans un tournoi en LAN (LAN=lanne), et qu’il connaissait de nombreux tricheurs à un niveau pro. Tout le monde le fait, mon pote !
4 : KiD x
« Overwatch » (2016)
Ce n’est pas un secret, Blizzard ne prend pas les tricheurs à la légère. Alors, quand on est connu comme l’un des meilleurs joueurs d’Overwatch, continuer à tricher n’est pas une bonne idée… surtout si on stream en même temps. Cependant, c’est exactement ce que Kid X, un joueur coréen du Top 500 a fait lorsqu’il s’est fait chopper en train d’utiliser un aimbot. Pour eux qu’ils ne le savent pas il s’agit d’un programme qui aide à viser. Du coup, il a été banni à vie en direct. Avec le recul, on se demande comment il a réussi à aller aussi loin en trichant de façon aussi évidente. On espère que cette humiliation publique freinera les autres…
3 : Azubu Frost
« League of Legends » (2009)
Ils savaient que l’équipe d’en face avait une meilleure line-up, alors il fallait qu’ils retrouvent leur avance.
Il faut l’avouer, ils ont réussi à réinventer un classique. Lors du championnat du monde de 2012 de League of Legends, l’équipe Azubu Frost aurait commis l’un des péchés capitaux du jeu vidéo… en regardant un autre écran. Le truc, c’est qu’ils ne regardaient pas exactement les écrans de l’autre équipe, mais l’écran géant positionné au-dessus de leur stand, et qui affichait leur mini-map. Etre capables de voir la position de leurs ennemis, surtout dans un jeu comme LoL, c’est un énorme avantage, et Azubu Frost a eu une amende de 25 000 euros. Et vous qui pensiez que regarder l’écran de votre ami sur Goldeneye était un crime.
2 : Matchs truqués
« StarCraft II: Wings of Liberty » (2010)
Oh, non non !
Le jeu vidéo compétitif est une industrie on ne peut plus populaire et lucrative en Corée du Sud depuis des années, et l’un des jeux les plus populaires est StarCraft. Alors, quand il a été révélé que des sites de paris avaient contacté les joueurs pros et des coachs en leur filant des pots-de-vin pour truquer les parties, les jeux télévisés et les autorités s’en sont mêlés rapidement.
Les exécuteurs vont devoir revenir pour gérer ça, et ils vont le faire, mais…
Les enquêtes ont révélés que les joueurs avaient accepté l’équivalent de milliers de dollars pour faire capoter leurs matchs, et le joueur pro « Life » s’est vu offrir 50 milles euros pour perdre deux matchs délibérément – sept fois plus que ce qu’il aurait récupéré en gagnant le tournoi. Résultat: certains pros ont atterri en prison. On se demande si ça en valait vraiment la peine.
On voit comment les choses doivent se passer, et à quoi ça doit ressembler, mais on ne se rapproche jamais de la perfection.
1 : Un match ARAM gâché
« League of Legends » (2009)
Des choix intéressants de la part de Dignitas pour leur ARAM.
Lors du championnat d’été du MLG de 2012, les équipes Dignitas et Curse devaient jouer le match final du tournoi. Au lieu de ça, les équipes ont décidé de jouer un autre mode, nommé All Random All Mid, ou ARAM. C’est à dire que tous les personnages sont choisis au hasard et tout le monde se bat dans l’allée du milieu.
C’était un truc marrant à faire, c’est tout.
Si aucune des deux équipes n’a fait exprès de perdre la partie, et qu’aucune règles n’interdit aux participants de jouer ARAM, elles ont toutes deux admis avoir prévu de partager le prix de 34 000 euros. Elles ont ainsi clairement gâché l’intégrité de la compétition, et déçu les fans qui espéraient une vraie finale. Sans surprise, elles ont toutes deux été disqualifiées et n’ont pas touché le prix.
J’ai honte, et j’aimerais m’excuser auprès des fans, bien sûr. On vous a complètement laissés tomber, et c’était un geste des plus irrespectueux.
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