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TOP 10 JEUX en PREMIÈRE PERSONNE qui nous FONT PEUR !

TOP 10 JEUX en PREMIÈRE PERSONNE qui nous FONT PEUR !
PRÉSENTÉ PAR: Xavier Moretti ÉCRIT PAR: Laurène Sauzet
Top 10 jeux en première personne qui nous font peur !
Mettez un pouce vers le haut si la vidéo vous a plu !
Une idée de Top 10 ? Proposez-la ici : http://WatchMojo.comsuggestion

Âmes sensibles, s'abstenir ! Ces jeux vidéo qui se jouent en première personne ne sont pas faits pour les faibles, tant leur scénario, leurs personnages ou les visuels sont flippants !
Joignez-vous à WatchMojo Français pour le décompte de cette liste des 10 jeux en première personne les plus terrifiants !

10) « F.E.A.R. »
9) « Clive Barker's Undying »
8) « Condemned: Criminal Origins »
7) « Soma »
6) « System Shock 2 »
5) « Bioshock »
4, 3, 2 & 1 ????

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#Horreur #JeuxVidéo

WatchMojo Français publie chaque semaine 8 vidéos sur vos thèmes préférés de la pop-culture : jeux vidéo, animés, comics, cinéma, télévision, internet, sport, musique et plus encore !

Celle est ceux qui font genre ils n'ont peur de rien n'ont jamais joué à ces jeux. Salut tout le monde, c'est Xavier , bienvenue sur WatchMojo Français, aujourd’hui nous faisons le décompte du Top 10 des jeux en première personne les plus effrayants.

Nous publions de nouvelles vidéos chaque jour, alors abonnez-vous et activez la petite cloche pour ne pas rater la prochaine !

Pour cette liste, nous passons en revue les FPS qui se concentrent sur l’horreur. Des jeux de tir en fps classique aux simulateurs de marche, si on a peur, ça compte !

Qu’est-ce qu’on a là ?

#10 : « F.E.A.R. » (2005)


Forcément, ça va surprendre personne qu'un jeu qui s’appelle PEUR en anglais fasse flipper. L’unité secrète du FEAR a beau être un groupe spécialisé, entraîné pour faire face à tout ce qui peut être effrayant, elle est loin d’être prête à affronter notre télépathe meurtrière préférée, la fameuse Alma Wade. Les joueurs sont alors soumis à tout un tas d’hallucinations affreuses, qu’ils ne peuvent pas forcément éliminer avec des armes. Petits conseils : gardez la lumière allumée, ne la regardez pas dans les yeux, et priez pour qu’Alma aime ce que vous voulez regarder sur Netflix.

#9 : « Clive Barker’s Undying » (2001)


On s'est tous inquiétés.

Quand EA a demandé à Clive Barker, l’auteur d’Hellraiser, de se pencher sur leur titre d’horreur à venir, les joueurs savaient qu’ils allaient être gâtés, et ils n’ont pas été déçus.

J’ai un mauvais pressentiment.

« Undying » suit l’enquête macabre du fana du paranormal Patric Galloway, tandis qu’il cherche à comprendre les mystères du manoir étrange de son ami irlandais. Il découvre alors une histoire tordue impliquant des enfants qui réalisent des rituels occultes et ramènent une malédiction infinie que Galloway doit, évidemment, briser. Malgré les superbes critiques, le jeu ne s’est pas bien vendu. La prochaine fois, ils n’auront qu’à éviter de mettre Pinhead au service client.

Tu sais quoi, tu parles trop.

#8 : « Condemned: Criminal Origins » (2005)


Si vous avez peur du noir, évitez ce titre. Ou allez vérifier dans votre sous-sol l'origine du bruit que vous venez d’entendre. Je vous attend là ! L’environnement du jeu est fait d’ombres profondes et d’intérieurs lugubres qui nous empêchent de bien voir, tandis qu’on tente de résoudre une série de meurtres atroces. Sur les traces d’un tueur en série fou, l’agent du FBI Ethan Thomas est impliqué dans des complots violents.

Thomas ! Par ici. Ça n’était peut-être pas une bonne idée.

Les joueurs doivent résoudre des énigmes médico-légales pour comprendre les scènes de crimes tout en affrontant des tarés avec les outils à leur portée. D’après les développeurs, le système de combat est « viscéral ». Et ils ont raison.

Thomas, tu as vu le visage de la haine, et du mal.

#7 : « Soma » (2015)


Un médecin !
Mais vous êtes un robot !
Ah oui ? Est-ce qu’un robot a des jambes, des mains, un visage ? Vous délirez.
Calmez-vous.

Il n’est pas rare de trouver des protagonistes de jeu vidéo qui tentent de sauver le monde, mais ici les joueurs font face à un monde déjà détruit. Après s’être réveillé dans PATHOS-II, une base scientifique sous-marine, Simon Jarrett découvre bien vite que la surface de la planète est désormais inhabitable suite à une chute de météore, et aux changements climatiques auxquels certains ne croient toujours pas. Hashtag svp réduisez votre empreinte carbone parce que les humains sont la source du problème ! Oui, c'est un long hashtag.

Vous pourriez m’aider ? Je dois aller à Theta.
Rendez-vous utile.

Le pire, c’est que la base est remplie de créatures mutantes – évidemment. Mais ce qui fait de Soma un jeu à part, ce sont ses segments sous l’eau qui nous terrifient, à cause de la visibilité réduite qui nous empêche de voir venir les menaces. La peur des abysses est poussée à fond, et c’est pour ça qu’on porte toujours des brassards, même quand on n’est pas en train de nager.

Désolé pour tout à l’heure. Désolé de ne pas t’avoir laissé reposer en paix.

#6 : « System Shock 2 » (1999)


Pour l’instant, vous êtes en sécurité. Vous vous remettez de l’opération et vous ne pourrez vous rappeler des évènements des dernières semaines.

« La méchante IA » est sûrement l’un des personnages les plus utilisés, mais elle était assez fraiche pour faire forte impression lors de la sortie de System Shock. System Shock 2 a réussi à rendre la terrible SHODAN plus complexe et effrayante, tout en forçant le joueur à s’allier à l’ordinateur menaçant pour éliminer les monstres qu’il a créé.

Vous nous déchirez sans une once de compassion. Vous attendez-vous vraiment à ce qu’on ne réplique pas ?

Les expériences ont mal tourné et ont muté au-delà du contrôle de SHODAN, et c’est à vous de les arrêter dans cette dystopie spatiale. Sur une note plus positive, au moins on n’est plus obligé de voir la tronche de SHODAN – attendez, comment ça ils prévoient un remake ? Il va sûrement s’appeler System Shock 3 : Alexa en a ras-le-bol, non ?

Vous pensez m’avoir détruite.

#5 : « Bioshock » (2007)


J’ai choisi Rapture.

La série s’est tournée vers l’action en 2013, avec la sortie d’Infinite, mais rien ne peut diminuer la terreur de l’original. Rapture est à la fois l’un des endroits les plus singuliers du monde des jeux vidéo, et l’un des plus terrifiants. En ruine, submergé et rempli de fous accros à la drogue et aux expériences génétiques, le monde découvert dans Bioshock était un véritable cauchemar. La conception des niveaux est complexe, ses ennemis sont incroyables, et le célèbre twist est hallucinant. Le jeu a remis les standards du jeu vidéo à l’heure, et il est toujours aussi influent, dix ans plus tard.

#4 : « Outlast » (2013)


Tu ne peux pas les combattre. Il faut te cacher.

Un asile délabré rempli de patients torturés n’est peut-être pas le décor d’horreur le plus original du monde, mais Outlast surpasse le cliché en ajoutant des caractéristiques uniques qui le font briller. Le jeu nous fait flipper grâce au gameplay furtif, en nous retirant la possibilité de nous défendre. Ce simulateur de panique créé une impuissance qui ne vous lâchera pas, même après avoir fini le jeu.

J’aimerais que vous restiez silencieux.

Les segments très sombres sont fréquents et exige des piles – qu’il vous faudra rationner – pour vous permettre d’avancer. Si vous utilisez trop de piles, vous vous retrouverez assiégé par les habitants meurtriers qui errent dans les couloirs. Mais au moins, l’asile vous offre un parking gratuit. Ah, non attendez j'avais mal compris, seules les 30 premières secondes sont gratuites. Il va falloir payer, et ça, ça fait peur.

Plus d’échappatoire.

#3 : « Resident Evil 7: Biohazard » (2017)


Oh, allons. Ne sois pas comme ça. Ça va être drôle, attends donc un peu.

Autrefois synonyme de jeu d’horreur, Resident Evil s’est un peu perdu pendant un temps, avant d’être revitalisé par le 7ème opus, et quel soulagement. Biohazard n’exige aucune connaissance des opus précédents et du lore complexe de R.E, ce qui joue en sa faveur, puisqu’il revient aux racines du jeu solo flippant et rempli de monstres.

Je t’avais dit de ne pas entrer !

La famille Barker, en matière de vilains, est aussi sublime que bizarre, tandis que les forces surnaturelles qui l’ont transformée vont faire flipper tout au long du jeu les personnes assez courageuses pour prendre la manette.

Je te tiens, ne t’inquiète pas.

#2 : « Amnesia: The Dark Descent » (2010)


Est-ce qu’elle se trouve dans le château ?
On peut dire ça.

Voici le jeu qui a véritablement popularisé le gameplay « on peut rien y faire », en forçant les joueurs à maîtriser l’art de courir et de se cacher. Daniel, le protagoniste, se réveille dans un vieux château gothique, avec pour seul indice une note qu’il s’est écrit, disant qu’il avait effacé ses propres souvenirs. Malgré ça, les joueurs passent le jeu à percer les secrets du passé que Daniel a tenté d’effacer. On finit par regretter de ne pas s’être échappé quand on le pouvait, et si vous vous demandez à quoi pourrait ressembler un jeu développé par Edgar Allan Poe, Amnesia est la réponse.

Comme Orphée qui descend aux enfers.
Tu caches quelque chose ?
Que voulez-vous dire ?
Laisse tomber.

#1 : « Alien : Isolation » (2014)


Dans les jeux vidéo qui s’inspirent du chef-d’œuvre du cinéma de 1979, ça passe ou ça casse, mais ce dernier opus parvient à toucher nos peurs primaires comme le film original. On suit la fille de Ripley, Amanda, tandis qu’elle tente de découvrir ce qui est arrivé à sa mère. Isolation capture parfaitement la terreur que l’on ressent lorsqu’on est traqué par un Xénomorphe. Son niveau de difficulté élevé et ses rares points de sauvegardes jouent en sa faveur, en nous renvoyant aux jeux de survie et d’horreur d’autrefois, mais c’est surtout la superbe IA du jeu qui le fait sortir du lot. Ouf. J'ai mal au ventre là... Y a un truc qui va pas… qu’est-ce que… aaah !

Vous êtes d’accord avec notre sélection ? Jetez un coup d’œil à ces autres supers vidéos de WatchMojo Français et n’oubliez pas de vous abonner pour être au courant des nouveautés !

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