L'HISTOIRE DE DEVIL MAY CRY !
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PRÉSENTÉ PAR: Xavier Moretti
ÉCRIT PAR: Laurène Sauzet
La grande franchise Devil May Cry est de retour ! Dante va à nouveau tout défoncer et j'imagine que beaucoup d'entre vous vont kiffer incarner ce personnage si atypique pour un 5e volet dans la franchise.
Cette sortie est l'occasion de faire un retour sur les origines et l'histoire de Devil May Cry, dans un format qui va vous plaire j'espère ! Bonne vidéo ! :)
Cette sortie est l'occasion de faire un retour sur les origines et l'histoire de Devil May Cry, dans un format qui va vous plaire j'espère ! Bonne vidéo ! :)
Ça fait déjà cinq ans que le dernier jeu de la série Devil May Cry est sorti, il n’est donc pas surprenant que les fans trépignent d’impatience dans l'attente du nouveau titre qui débarque en mars. Du coup, en attendant le retour très attendu de la série, regardons un peu comment elle a démarré. Bienvenue sur WatchMojo Français, pour un épisode spécial sur l’histoire de Devil May Cry.Nous publions de nouvelles vidéos chaque jour, alors abonnez-vous et activez la petite cloche pour ne pas rater la prochaine !
C’est peut-être difficile à croire, mais le premier jeu DMC a d'abord été développé dans l'idée d'être la 4ème entrée dans la série des « Resident Evil », en 1999. Comme « RE2 » est sorti l’année précédente, et que « RE3 » a connu un succès critique, Capcom a pas mal bossé sur le 4ème jeu, mais se heurtait à un mur notamment à cause du passage sur PS2. « RE4 » connaîtra des difficultés pendant pas mal de temps, et de nombreuses versions ont été créées avant d’arriver au produit final, mais heureusement, l’histoire de Devil May Cry est plus tranquille.Tout a commencé il y a longtemps, quand le producteur/ développeur de Resident Evil Shinji Mikami a demandé à Hideki Kamiya de faire une série de survival-horror différente des trois premiers jeux. En tant que développeur, Kamiya a alors demandé à Noboru Sugimura, scénariste de RE2, de créer une histoire bien plus cool et stylée que les jeux « RE » précédents. Ainsi fut créé un protagoniste nommé Tony pourvu de capacités surhumaines et biotechnologiques, drapé de mystère.
Cependant, le personnage de Tony ne se démarquait pas assez dans les décors pré-rendus employés par Capcom à cette époque, et un système de caméra dynamique fut créé pour capturer le style flashy de ce nouveau jeu. Mais les couleurs vives et le style empiétaient sur l’horreur et la survie, et avec l’évolution du jeu, Kamiya parvint à convaincre son équipe que ce jeu devait être indépendant, un titre à part entière. Du coup, Kamiya a réécrit l’histoire de Tony et d’Umbrella Corporation en l’orientant vers Dante, les démons, et tout ce qu’on connaît aujourd’hui, en enlevant tout ce qui pouvait être lié à Resident Evil.Il a aussi surfé sur l’ingrédient cool que cherchait Capcom désespérément au début de son développement, en imaginant Dante comme un type avec qui on a envie d’aller boire un verre le week-end, mélangé au poème épique de « La Divine Comédie » pour faire bonne mesure ! Avec désormais une équipe prête à développer le jeu du nom de « Team Little Devils », le titre a été repensé de A à Z autour de la vitesse et des capacités de Dante, avec l’un des éléments de gameplay clé qui est sorti d’un bug dans « Onimusha: Warlords », soit la capacité des développeurs à maintenir les ennemis dans l’air en frappant vers le ciel. Ce bug a été corrigé dans Onimusha, mais ajouté dans Devil May Cry.En novembre 2000, le titre « Devil May Cry » sort publiquement pour la première fois, et ses racines de Resident Evil ne sont plus qu’un lointain souvenir. Le jeu a été conçu pour offrir du challenge, et on lui avait donné une structure basée sur les missions pour permettre des classements et des scores basés sur la performance. Il a également emprunté au jeu de combat, d’énigme et de plate-forme pour rendre Dante plus redoutable et destructeur dans sa chasse aux démons, alors qu’il tente d’empêcher Mundus de revenir sur Terre. Lors de sa sortie sur PS2 en 2001, la première entrée de la franchise a connu un succès critique et commercial en se vendant à 2 millions de copies rien qu’aux U.S.A, une marque de l'engouement énorme pour son gameplay, son visuel, ses commandes et son style novateurs. En fait, ces éléments (surtout dans le 1er DMC), sont souvent vus comme le début des jeux « d’extrême combat » nommés les hack’n slash.La production du second jeu a commencé presque immédiate-ment après le succès du premier, mais Team Little Devils et Hideki Kamiya étaient bizarrement introuvables. La 2ème équipe en place a repris les rênes, mais Capcom n’aimait pas la direction que prenait ce 2nd titre, et avec seulement quatre mois à tirer dans le cycle du développement, ils ont remplacé le développeur original par Hideaki Itsuni, un employé de longue-date, et sont parvenus à terminer le jeu dans les temps.En gros, « Devil May Cry 2 » n’avait qu’une mission : être plus grand et plus divertissant que le 1er, et il l’était physiquement, avec ses décors neuf fois plus vastes que les premiers, mais le personnage de Dante ainsi que certains des puzzles et des éléments de plateforme (sans parler de la difficulté) avait été amplement diminués, laissant les fans de l’original sur une note amère, et poussant Gamespot à le nommer le jeu le plus décevant de 2003. D’autres critiques étaient aussi mitigées quant au jeu, disant qu’il avait sacrifié son style pour sa taille, et avait stérilisé Dante. Ma foi, c'est une comparaison imagée. En plus, l’ajout d’un second disque avec le personnage jouable de Lucia n’était qu’une astuce pour donner une impression de grandeur aux joueurs, qui l’ont vite compris. Malgré des critiques vives, le jeu s’est tout de même vendu à un peu moins de 2 millions de copies rien qu'outre-atlantique, et il était donc rentable.« DMC 3 » s’est lui aussi bien vendu en 2005 – avec un million de copies supplémentaires l’année suivante grâce à une édition spéciale additionnelle – mais cette fois, les critiques étaient plus douces, et y voyaient un retour à ses origines. On avait droit à un prequel, avec un Dante plus jeune et arrogant qui découvre la tour de Temen-ni-gru. Après l’échec critique de « DMC 2 », Capcom a réexaminé la série et s’est concentré sur l’innovation et le style en ajoutant un système de combat qui permettait aux joueurs d’utiliser des armes différemment en switchant pendant les combats. Des styles de gameplay ont été ajouté, en changeant complètement la façon dont Dante attaquait les ennemis. Il s’agit alors du dernier jeu « DMC » sur PS2 et le premier jeu porté sur PC.Une fois encore, le développement du jeu suivant commence dès que le titre précédent connait le succès. « DMC 4 » a été conçu exclusivement pour les systèmes next-gen, et à l’époque il était le premier jeu de la série à sortir à la fois sur PS3 et sur Xbox 360, ainsi que sur PC. Hideaki Itsonu était de retour, et voulait que le jeu soit différent des trois autres, mais il ne savait pas exactement quelle direction prendre sans changer complètement Dante ou ajouter de nouveaux personnages principaux. Du coup, Capcom et lui ont décidé d’ajouter Nero pour changer un peu le gameplay et tenter d’attirer de nouveaux futurs fans. Mais l’équipe derrière ce quatrième jeu savait que laisser Dante de côté provoquerait la colère des joueurs, et qu’ils se révolteraient sûrement, du coup elle en a fait un personnage jouable aussi, et c’est ainsi que DMC4 possédait 2 héros et des mécaniques différentes.Cette modification a plu aux critiques, qui ont apprécié l’ajout de Nero ainsi que l’esthétique détonante du jeu, et la difficulté bien présente. Il a également connu un succès financier, en se vendant à plus de trois millions de copies chez nous amis américains, ce qui faisait de lui, à l’époque, l’entrée la mieux vendue de la série. Une Édition Spéciale du jeu est sortie sur PS4 et Xbox One en 2015, ce qui a également donné un coup de pouce aux ventes. Petite parenthèse, Hideki Kamiya s’est inspiré de ce jeu pour créer le premier Bayonetta en 2009, ce qui lie encore plus ces deux hack n’ slash dans l’histoire du jeu vidéo.Souhaitant voir toujours plus de changements ainsi qu’un ressenti plus occidental pour le prochain titre de la franchise, Capcom a rebooté la série et sous-traité le développement aux U.S.A via Ninja Theory. Si DMC4 était le titre le mieux vendu de la série pour l’instant, Capcom voulaient encore augmenter les chiffres pour atteindre les sommets d’autres jeux d’action Triple-A tels que « Assassin’s Creed ». Ils refusaient aussi de se faire dépasser par des rivaux directs tels que Bayonetta, ce qui explique l’arrivée d’un reboot créé chez un développeur différent avec l’Unreal Engine, et destiné à un public plus jeune.Ils espéraient ainsi attirer de nouveaux fans, tout en satisfaisant les anciens, sauf que grosso mode, y a que les critiques qui ont bien accueilli version rebootée de DMC, en félicitant Ninja Theory pour sa bonne gestion du gameplay, de l’histoire et du design, tandis que les fans de longue date ont rejeté la personnalité occidentale et émo de ce Dante.Niveau gameplay, on trouvait l’ajout du mode Ange et Démon, qui changeait le style de combat de Dante, mais il restait majo-ritairement un jeu DMC dans la prise en main. Il s’est plutôt bien vendu, mais n’a pas atteint les objectifs financiers fixés par Capcom, et une Edition Définitive est sortie sur PS4 et Xbox One en 2015.Après avoir fait la tête devant la version rebootée de DMC en 2013, les fans ont craint que la franchise ne se relève jamais, mais l’E3 2018 a tout changé, puisque Capcom a annoncé que ses studios et le développeur Hideaki Itsuno planchaient sur un Devil May Cry 5, et qu’il tournerait sur le moteur de Resident Evil 7. Le jeu prendra place après les évènements de DMC 4, et prolongera l’histoire, ce qui signifie un retour de Dante ET de Nero, ainsi qu’un nouveau personnage nommé « V », et les aficionados de longue date de la série ont hâte de mettre les mains sur le titre pour retourner dans ce monde rempli de démons.La sortie de Devil May Cry 5 est imminente, et Capcom va sans doute chercher à faire la paix avec les fans agacés, pour passer outre la tentative de reboot de 2013. Comme la nostalgie fait vendre en ce moment, Dante, Nero et Cie. ont bien choisi leur moment pour faire leur grand retour dans la série, après tant d’années de silence.Vous êtes d’accord avec notre sélection ? Jetez un coup d’œil à ces autres supers vidéos de WatchMojo Français et n’oubliez pas de vous abonner pour
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C’est peut-être difficile à croire, mais le premier jeu DMC a d'abord été développé dans l'idée d'être la 4ème entrée dans la série des « Resident Evil », en 1999. Comme « RE2 » est sorti l’année précédente, et que « RE3 » a connu un succès critique, Capcom a pas mal bossé sur le 4ème jeu, mais se heurtait à un mur notamment à cause du passage sur PS2. « RE4 » connaîtra des difficultés pendant pas mal de temps, et de nombreuses versions ont été créées avant d’arriver au produit final, mais heureusement, l’histoire de Devil May Cry est plus tranquille.Tout a commencé il y a longtemps, quand le producteur/ développeur de Resident Evil Shinji Mikami a demandé à Hideki Kamiya de faire une série de survival-horror différente des trois premiers jeux. En tant que développeur, Kamiya a alors demandé à Noboru Sugimura, scénariste de RE2, de créer une histoire bien plus cool et stylée que les jeux « RE » précédents. Ainsi fut créé un protagoniste nommé Tony pourvu de capacités surhumaines et biotechnologiques, drapé de mystère.
Cependant, le personnage de Tony ne se démarquait pas assez dans les décors pré-rendus employés par Capcom à cette époque, et un système de caméra dynamique fut créé pour capturer le style flashy de ce nouveau jeu. Mais les couleurs vives et le style empiétaient sur l’horreur et la survie, et avec l’évolution du jeu, Kamiya parvint à convaincre son équipe que ce jeu devait être indépendant, un titre à part entière. Du coup, Kamiya a réécrit l’histoire de Tony et d’Umbrella Corporation en l’orientant vers Dante, les démons, et tout ce qu’on connaît aujourd’hui, en enlevant tout ce qui pouvait être lié à Resident Evil.Il a aussi surfé sur l’ingrédient cool que cherchait Capcom désespérément au début de son développement, en imaginant Dante comme un type avec qui on a envie d’aller boire un verre le week-end, mélangé au poème épique de « La Divine Comédie » pour faire bonne mesure ! Avec désormais une équipe prête à développer le jeu du nom de « Team Little Devils », le titre a été repensé de A à Z autour de la vitesse et des capacités de Dante, avec l’un des éléments de gameplay clé qui est sorti d’un bug dans « Onimusha: Warlords », soit la capacité des développeurs à maintenir les ennemis dans l’air en frappant vers le ciel. Ce bug a été corrigé dans Onimusha, mais ajouté dans Devil May Cry.En novembre 2000, le titre « Devil May Cry » sort publiquement pour la première fois, et ses racines de Resident Evil ne sont plus qu’un lointain souvenir. Le jeu a été conçu pour offrir du challenge, et on lui avait donné une structure basée sur les missions pour permettre des classements et des scores basés sur la performance. Il a également emprunté au jeu de combat, d’énigme et de plate-forme pour rendre Dante plus redoutable et destructeur dans sa chasse aux démons, alors qu’il tente d’empêcher Mundus de revenir sur Terre. Lors de sa sortie sur PS2 en 2001, la première entrée de la franchise a connu un succès critique et commercial en se vendant à 2 millions de copies rien qu’aux U.S.A, une marque de l'engouement énorme pour son gameplay, son visuel, ses commandes et son style novateurs. En fait, ces éléments (surtout dans le 1er DMC), sont souvent vus comme le début des jeux « d’extrême combat » nommés les hack’n slash.La production du second jeu a commencé presque immédiate-ment après le succès du premier, mais Team Little Devils et Hideki Kamiya étaient bizarrement introuvables. La 2ème équipe en place a repris les rênes, mais Capcom n’aimait pas la direction que prenait ce 2nd titre, et avec seulement quatre mois à tirer dans le cycle du développement, ils ont remplacé le développeur original par Hideaki Itsuni, un employé de longue-date, et sont parvenus à terminer le jeu dans les temps.En gros, « Devil May Cry 2 » n’avait qu’une mission : être plus grand et plus divertissant que le 1er, et il l’était physiquement, avec ses décors neuf fois plus vastes que les premiers, mais le personnage de Dante ainsi que certains des puzzles et des éléments de plateforme (sans parler de la difficulté) avait été amplement diminués, laissant les fans de l’original sur une note amère, et poussant Gamespot à le nommer le jeu le plus décevant de 2003. D’autres critiques étaient aussi mitigées quant au jeu, disant qu’il avait sacrifié son style pour sa taille, et avait stérilisé Dante. Ma foi, c'est une comparaison imagée. En plus, l’ajout d’un second disque avec le personnage jouable de Lucia n’était qu’une astuce pour donner une impression de grandeur aux joueurs, qui l’ont vite compris. Malgré des critiques vives, le jeu s’est tout de même vendu à un peu moins de 2 millions de copies rien qu'outre-atlantique, et il était donc rentable.« DMC 3 » s’est lui aussi bien vendu en 2005 – avec un million de copies supplémentaires l’année suivante grâce à une édition spéciale additionnelle – mais cette fois, les critiques étaient plus douces, et y voyaient un retour à ses origines. On avait droit à un prequel, avec un Dante plus jeune et arrogant qui découvre la tour de Temen-ni-gru. Après l’échec critique de « DMC 2 », Capcom a réexaminé la série et s’est concentré sur l’innovation et le style en ajoutant un système de combat qui permettait aux joueurs d’utiliser des armes différemment en switchant pendant les combats. Des styles de gameplay ont été ajouté, en changeant complètement la façon dont Dante attaquait les ennemis. Il s’agit alors du dernier jeu « DMC » sur PS2 et le premier jeu porté sur PC.Une fois encore, le développement du jeu suivant commence dès que le titre précédent connait le succès. « DMC 4 » a été conçu exclusivement pour les systèmes next-gen, et à l’époque il était le premier jeu de la série à sortir à la fois sur PS3 et sur Xbox 360, ainsi que sur PC. Hideaki Itsonu était de retour, et voulait que le jeu soit différent des trois autres, mais il ne savait pas exactement quelle direction prendre sans changer complètement Dante ou ajouter de nouveaux personnages principaux. Du coup, Capcom et lui ont décidé d’ajouter Nero pour changer un peu le gameplay et tenter d’attirer de nouveaux futurs fans. Mais l’équipe derrière ce quatrième jeu savait que laisser Dante de côté provoquerait la colère des joueurs, et qu’ils se révolteraient sûrement, du coup elle en a fait un personnage jouable aussi, et c’est ainsi que DMC4 possédait 2 héros et des mécaniques différentes.Cette modification a plu aux critiques, qui ont apprécié l’ajout de Nero ainsi que l’esthétique détonante du jeu, et la difficulté bien présente. Il a également connu un succès financier, en se vendant à plus de trois millions de copies chez nous amis américains, ce qui faisait de lui, à l’époque, l’entrée la mieux vendue de la série. Une Édition Spéciale du jeu est sortie sur PS4 et Xbox One en 2015, ce qui a également donné un coup de pouce aux ventes. Petite parenthèse, Hideki Kamiya s’est inspiré de ce jeu pour créer le premier Bayonetta en 2009, ce qui lie encore plus ces deux hack n’ slash dans l’histoire du jeu vidéo.Souhaitant voir toujours plus de changements ainsi qu’un ressenti plus occidental pour le prochain titre de la franchise, Capcom a rebooté la série et sous-traité le développement aux U.S.A via Ninja Theory. Si DMC4 était le titre le mieux vendu de la série pour l’instant, Capcom voulaient encore augmenter les chiffres pour atteindre les sommets d’autres jeux d’action Triple-A tels que « Assassin’s Creed ». Ils refusaient aussi de se faire dépasser par des rivaux directs tels que Bayonetta, ce qui explique l’arrivée d’un reboot créé chez un développeur différent avec l’Unreal Engine, et destiné à un public plus jeune.Ils espéraient ainsi attirer de nouveaux fans, tout en satisfaisant les anciens, sauf que grosso mode, y a que les critiques qui ont bien accueilli version rebootée de DMC, en félicitant Ninja Theory pour sa bonne gestion du gameplay, de l’histoire et du design, tandis que les fans de longue date ont rejeté la personnalité occidentale et émo de ce Dante.Niveau gameplay, on trouvait l’ajout du mode Ange et Démon, qui changeait le style de combat de Dante, mais il restait majo-ritairement un jeu DMC dans la prise en main. Il s’est plutôt bien vendu, mais n’a pas atteint les objectifs financiers fixés par Capcom, et une Edition Définitive est sortie sur PS4 et Xbox One en 2015.Après avoir fait la tête devant la version rebootée de DMC en 2013, les fans ont craint que la franchise ne se relève jamais, mais l’E3 2018 a tout changé, puisque Capcom a annoncé que ses studios et le développeur Hideaki Itsuno planchaient sur un Devil May Cry 5, et qu’il tournerait sur le moteur de Resident Evil 7. Le jeu prendra place après les évènements de DMC 4, et prolongera l’histoire, ce qui signifie un retour de Dante ET de Nero, ainsi qu’un nouveau personnage nommé « V », et les aficionados de longue date de la série ont hâte de mettre les mains sur le titre pour retourner dans ce monde rempli de démons.La sortie de Devil May Cry 5 est imminente, et Capcom va sans doute chercher à faire la paix avec les fans agacés, pour passer outre la tentative de reboot de 2013. Comme la nostalgie fait vendre en ce moment, Dante, Nero et Cie. ont bien choisi leur moment pour faire leur grand retour dans la série, après tant d’années de silence.Vous êtes d’accord avec notre sélection ? Jetez un coup d’œil à ces autres supers vidéos de WatchMojo Français et n’oubliez pas de vous abonner pour
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