TOP 10 des MOMENTS ÉPIQUES dans BOB L'ÉPONGE !

« L'affrontement »
S’ils sont normalement meilleurs amis, dans cet épisode, Bob l’Éponge et Patrick sont rivaux. Représentant respectivement le Krab Kroustillant et le Chum Bucket, ils se retrouvent face à face dans la finale de l’Affrontement.La confrontation est épique, avec un type de lutte assez bizarre. Ils échangent des coups de plus en plus chelous, et semblent arriver à une égalité… enfin, jusqu’à ce qu’on apprenne qu’ils portent des sous-vêtements roses et jaunes, ce qui résout tout de suite le conflit. On ne voit pas ça dans la WWE.Profondément drôle façon Bob l’Éponge comme on l’aime et indéniablement adorable, on comprend parfaitement pourquoi cet épisode est devenu culte chez les fans de l’éponge carrée.

« Les Joies du dimanche »
Le pauvre Carlo ne demande qu’un jour de congé. Alors que M. Krabs est à l’hôpital, Carlo y voit une opportunité, et laisse Bob seul pendant qu’il va faire, on cite « des courses ».Malheureusement, il devient parano quant à ce que pourrait faire Bob pendant son absence.Tombant toujours plus dans la folie, il rêve de scénarii de plus en plus ridicules, et n’arrive pas à se reposer. Évidemment, à chaque fois qu’il revient en courant pour vérifier l’état du restaurant, il trouve Bob derrière le comptoir, tout à fait normal, qui lui demande « Tu as fini tes courses ? ». Une exploration hilarante mais tout de même intéressante de la dynamique présente entre ces deux collègues diamétralement opposés.

« Petit mais costaud »
Ah, Plankton, est-ce qu’un jour l’un de tes plans va fonctionner ? Afin de tenter d’utiliser Bob comme un pion dans ses plans machiavéliques, Plankton essaye de lui apprendre à être plus assuré, et va même jusqu’à organiser une rencontre avec le type qui a pris la glace de Bob.Évidemment, comme Bob est un adorable idiot, il ne comprend absolument pas ce qu’il doit faire et transforme ce qui devait être un avertissement violent en un acte généreux.Si Bob parvient ensuite à être plus agressif, ça ne lui va pas vraiment et il s’excuse rapidement. L’épisode nous montre qu’on ne peut pas forcer les gens à agir contre leur nature.

« Les Vacances de l'Homme-Sirène »
Il faut aussi comprendre Lunettes Noires : Patrick pourrait rendre fou n’importe qui. Afin de tenter de convaincre le duo qu’il a changé, le super-vilain demande à Patrick et Bob de lui enseigner le bien.Mais le mur de briques impénétrable qu’est la bêtise de Patrick est un peu trop dur à gérer pour la première leçon, qui consiste à rendre un porte-monnaie. Patrick finit par oublier qu’il lui appartient et refuse de le reprendre.L’échange est super drôle et absurde, même si l’on comprend la rage de Lunettes Noires, qui est poussé à bout. Patrick est complètement idiot, mais c’est comme ça qu’on l’aime.

« Asphyxies en chaîne »
Que les créateurs aient vraiment tenté de faire une analogie pour les addictions, ou qu’ils aient eu envie de nous montrer des images chelous d’un Bob déshydraté, on n’est pas près d’oublier cette petite scène. Alors qu’il boit du thé avec Sandy l’écureuil, Bob l’éponge oublie le fait que les éponges de mer ne sont pas vraiment faites pour sortir de l’eau. Il se flétrit de plus en plus, mais fait son têtu et refuse d’accepter un fait simple et évident : l’accès à l’H2O n’est pas optionnel, pour lui c’est une nécessité. Heureusement pour tout le monde, il finit par céder et crie ces mots désormais immortels :

« La Rédaction »
Il a beau vivre dans un ananas sous l’océan, Bob l’éponge connaît autant de défis quotidiens que nous, comme les devoirs qu’on n’arrive pas à faire. La procrastination pointe le bout de son nez, et on fait de notre mieux pour reporter le plus possible.Bob l’éponge, lui, va encore plus loin dans cet épisode déjanté, et son incapacité à écrire un texte sur ce qu’il ne faut pas faire à un feu rouge l’emmène dans toute une série de mésaventures.Évidemment, le meilleur moment arrive lorsqu’il gratte enfin le papier, et produit un magnifique « Le » ou « The » en anglais.

« Service de nuit »
Pendant un service de nuit au Krabe Kroustillant, Carlo tente d’effrayer Bob l’Éponge avec l’histoire du Roi de la Spatule, ce qui lui retombe dessus lorsque lui et Bob connaissent la frayeur de leur vie.Les lumières s’éteignent, les téléphones sonnent, et une silhouette semblable à celle d’un meurtrier arrive avec une spatule, pour terminer le boulot. Bien sûr, on apprend qu’il s’agit d’un malentendu… sauf pour les lumières. Ça, c’était un coup de Comte Orlock, issu du film d’horreur de 1922, Nosferatu.On ne sait pas trop ce qui est le plus fou : qu’il soit dans un épisode de Bob l’Éponge, ou le fait que de nombreuses personnes ignoraient son existence avant cet épisode.

« Les tablettes de chocolat »
Bob l’éponge et Patrick tentent de devenir entrepreneurs, en essayant de gagner de l’argent via la vente à domicile de barres de chocolat.Mais lancer sa propre affaire peut être risqué, et leur absence d’expérience donne des résultats franchement mauvais. Au passage, un personnage se distingue clairement, c’est le client qui devient complètement dingue lorsqu’il entend le mot chocolat.À tel point qu’il se met à hurler et à poursuivre Bob et Patrick où qu’ils aillent. Il se trouve qu’en fait, il voulait simplement acheter quelques portions de chocolat… allez comprendre.

« La course au titre »
Dans cette scène, qui est sûrement le moment clé de Patrick dans toute la série, on a droit à un moment de comédie ingénieux et simple. L’adorable étoile ne parvient absolument pas à comprendre comment fonctionnent les commandes par téléphone. Alors que les clients appellent en demandant le Krabe Kroustillant, Patrick les envoie bouler à chaque fois.De plus en plus agité au fur et à mesure que les appels arrivent, sa patience finit par aller faire un tour, et il crie la phrase légendaire :

Avant de dévoiler notre vainqueur, voici quelques mentions honorables :

C’est vous Carlo ?
« L’Exil »
Carlo le beau gosse
« Adorable Carlo »
Le distributeur de varech
« Les Bus farceurs »

« L'Orchestre »
Après avoir été défié par un vieux parent, Carlo galère a faire une orchestre avec les habitants de Bikini Bottom. En effet, la plupart d’entre eux ne savent pas jouer. La preuve avec Patrick, qui pense que la mayonnaise est un instrument.Pourtant, non seulement ils réussissent à se ressaisir pour la performance finale, mais en plus, ils en font carrément un concert de rock.Avec Patrick à la batterie, Sandy à la guitare et Bob qui mène le projet avec une voix impressionnante, cette fin risque de vous clouer à votre siège ou de vous pousser lâcher un pas en rythme. Quoi qu’il en soit, elle est inoubliable.

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